IRIB- Les habitants de Tchita (Sud de la Sibérie orientale) ont eu la surprise de voir un objet volant, non identifié, d’une taille quasiment équivalente à celle d’un Boeing 747. Les témoins parlent d’un OVNI d’une couleur anthracite, n’émettant aucun son, ni lumière, sa forme serait proche d’un triangle irrégulier aux bords arrondis. Une apparition, qui a fait la Une des médias russes, en début de semaine. L’enquête est toujours en cours, pour les ufologues qui prévoient de réinterroger les témoins. D’après les informations des ufologues russes, une base secrète d’OVNI serait cachée, quelque part, dans les vastes espaces de la Sibérie.
lundi 30 janvier 2012
Un OVNI géant survole la Siberie orientale
UNE ÉPAVE D’OVNI SUR MARS ?
IRIB- Les scientifiques de la "NASA" s’interrogent, au sujet d’une photo prise par la sonde "Spirit", entre mai et juin. L’image que vous pouvez voir ci-contre, montre une forme étrange, semi-circulaire, faisant penser à une partie d’un OVNI ou d’un moteur. Une “découverte”, qui intrigue, tout particulièrement, les ufologues, persuadés que la planète rouge a, déja, été visitée par une vie extraterrestre. D’autres têtes pensantes ont émis l’idée d’être en présence d’ouvrage antique martien, qui prouverait qu’une civilisation a vécu sur Mars.
Un avion de China Eastern Airlines croise un OVNI
Edmonton (Canada) - Un avion de la compagnie aérienne chinoise China Eastern Airlines a rapporté un incident plutôt inhabituel alors qu'il se trouvait en vol au nord de la ville de Alberta (Canada) et que les pilotes ont indiqué avoir vu un OVNI à proximité de leur position.
L'avion, un Airbus A340-600, vol MU587, qui effectuait la liaison entre l'aéroport international Pudong de Shanghai (Chine) et l'aéroport international John Fitzgerald Kennedy de New York (New York/USA) avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était au-dessus du territoire canadien, aux alentours des coordonnées 58ºN 111ºW, au niveau de vol 370, lorsque les pilotes ont indiqué aux contrôleurs aériens du centre de contrôle en route qu'ils apercevaient une forte lueur, leur faisant penser à un OVNI, à environ 40 nautiques au sud de leur position, faisant route approximativement au sud-ouest et à une altitude de 41.000 pieds.
Les contrôleurs aériens ont indiqué n'avoir aucun écho radar à cette position ni aucune trace d'un vol quelconque qui pourrait expliquer la présence de l'objet. Après quelques minutes d'observation, ce dernier a disparu. Le vol s'est poursuivi sans autre incident et l'appareil est arrivé à New York à l'heure prévue.
L'imposture de la "grippe A" Dévoilée
dimanche 29 janvier 2012
Japon : 70% des boeufs potentiellement irradiés hors contrôle
Décidément, le Japon n'a pas de chance. Alors qu'il s'apprête à demander le classement de la "cuisine japonaise" au Patrimoine Mondial afin de rassurer les étrangers sur l'excellence et surtout ces jours-ci, sur l'innocuité des produits alimentaires nippons (cf:http://mdn.mainichi.jp/travel/news/20120125p2g00m0dm117000c.html ) voilà que resurgit un boomerang que l'on croyait depuis belle lurette parti pour ne plus revenir: celui du boeuf irradié dont nous avons déjà parlé ici et ici.
En effet, il apparaît désormais indéniable que 70% des bêtes qui auraient dû subir l'examen sanitaire censé déterminer leur niveau d'irradiation, sont non seulement passés au travers du filet mais pire encore, ont carrément disparu dans la nature.
Il faut dire que les examens avaient été décidés avec quatre mois de retard par rapport au début de la crise nucléaire originaire de Fukushima, et que ces examens délégués aux bonnes volontés départementales... n'étaient tout bonnement pas obligatoires (cf: http://www.yomiuri.co.jp/dy/national/T120126006317.htm ).
On ne sait donc pas où sont passés ces bestiaux, s'ils sont toujours vivants, s'ils ont été donnés à manger au Japon ou exportés, ou s'ils ont été débités en morceaux stockés dans des congélateurs industriels en attente de jours meilleurs...
Inouï !
Un dossier à rebondissements qui continue de mettre à mal l'image du Japon, et qui connaît d'ailleurs depuis quelques semaines une affaire sœur puisqu'il y est question non pas de foin radioactif mais cette fois-ci de gravier également irradiés dans les jours qui ont suivi le 11 mars 2011, et dont plus de 5 200 tonnes auront été distribuées avec une célérité absolument olympique, redistribuées tout aussi rapidement à près de deux centaines d'entreprises du bâtiment (cf:http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/news/20120116p2a00m0na015000c.html ) qui se sont empressées d'utiliser le matériaux dans leurs cimentages de routes, d'immeubles mais aussi - une fois encore pas de chance pour les petits Japonais à qui on a déjà donné à manger du boeuf irradié -
d'écoles (cf:http://www.japantimes.co.jp/text/nn20120119a4.html ).
Source: citizenside
samedi 28 janvier 2012
Sibérie : l'Altaï serait le berceau génétique des Amérindiens
Selon une étude d’anthropologues américano-russes, une petite région montagneuse du sud de la Sibérie serait le berceau génétique des premiers habitants du continent nord-américain, les Amérindiens.
C'est une découverte inattendue qu'a annoncée une étude publiée hier par une équipe internationale d’anthropologues américano-russes. Celle-ci révèle que le berceau génétique des Amérindiens se situerait dans l’Altaï, une région montagneuse d’anthropologues américano-russes. Comme l’explique Theodore Schurr, professeur adjoint d'anthropologie à l'Université de Pennsylvanie, l’Altaï "est un lieu clé marqué par le va-et-vient de nombreuses peuplades depuis plusieurs milliers d'années".
Or, certaines de ces peuplades seraient justement les ancêtres des tout premiers Américains et seraient arrivées il y a 20.000 ou 25.000 ans de l'Altaï, qui fait aujourd'hui partie de la Fédération de Russie. Initialement issues de lignées génétiques asiatiques, ces populations auraient traversé la Sibérie puis franchi le détroit de Béring pour arriver en Amérique. Le franchissement aurait alors été simple puisqu’à cette période la région n’était pas submergée par les eaux.
Pour arriver à une telle conclusion, les scientifiques ont analysé l'ADN du chromosome Y (transmis par le père) chez les Amérindiens et chez les autochtones de l'Altaï du Sud, rapporte TV5monde. Ils y ont découvert une mutation génétique unique dans la lignée partagée par les deux groupes. Des similitudes génétiques particulières ont également été découvertes dans le génome mitochondrial (hérité de la mère) de ces deux groupes, révèle l'étude.
Selon les estimations des chercheurs, la lignée Altaï aurait en fait divergé génétiquement de celle des Amérindiens il y a 13.000 à 14.000 ans. Cette hypothèse entre en adéquation avec les premières migrations de Sibérie vers l'Amérique, situées entre 15.000 et 20.000 ans en arrière. Outre le fait d'élucider la relation Asie-Amérique chez certaines populations, cette étude confirme aussi que la division culturelle d'aujourd'hui entre Altaï du Sud et du Nord aurait des racines anciennes.
vendredi 27 janvier 2012
Onze nouveaux systèmes planétaires découverts
Le télescope spatial américain Kepler a découvert 11 nouveaux systèmes planétaires comptant au total 26 planètes, a annoncé jeudi la Nasa.
Ces découvertes portent à 60 le nombre d'exoplanètes rencontrées et confirmées à ce jour par Kepler, et à plus de 2.300 le total de ces planètes "potentielles" se trouvant hors de notre système solaire, précise l'agence spatiale américaine dans un communiqué. Kepler a également triplé le nombre de systèmes planétaires connus comptant plus d'une exoplanète.
Aucun de ces onze systèmes planétaires ne ressemble à notre système solaire, à l'exception d'un, baptisé Kepler-33, qui reste toutefois plus ancien et plus grand et compte cinq planètes contre huit pour le système solaire.
Ces 26 nouvelles exoplanètes varient en taille, allant de 1,5 fois le rayon de la Terre à une dimension surpassant Jupiter, la plus grosse planète de notre système solaire, formée de gaz. Quinze de ces exoplanètes se situent, en terme de taille, entre la Terre et Neptune.
Davantage d'analyses et observations sont nécessaires pour déterminer celles qui sont rocheuses comme la Terre et celles qui ont une atmosphère gazeuse épaisse comme Neptune. "Avant le déploiement de Kepler -lancé en mars 2009- nous connaissions l'existence de peut-être 500 exoplanètes dans l'ensemble de la Voûte étoilée", relève Dough Hudgins, le responsable scientifique de Kepler à la Nasa. Désormais, on en compte 729 au total, confirmées à ce jour, dont 60 ont été débusquées par Kepler, ajoute-t-il. (belga)
Source: 7s7.be
Les chinois vont construire un centre de recherche sur les ovnis
Les autorités de la province chinoise de Guizhou ont annoncé à la fin de l’année dernière qu’elles venaient de recevoir 20 millions de dollars d’une société basée à Taïwan pour construire un centre de recherche sur les OVNI, au même titre que le "SETI".
Le choix de l’endroit n’est pas anodin, puisque de nombreux habitants de la zone sont persuadés d’avoir été visités par des extraterrestres en 1994 ; avec ce centre de recherche flambant neuf, les scientifiques espèrent, donc, pouvoir étudier les prochaines apparitions OVNI extraterrestre.
Le 30 novembre 1994, 27 hectares de forêt avaient été mystérieusement abattus alors que le reste des arbres étaient demeurés intacts. Plusieurs habitants ont également vu un énorme camion (que l’on a retrouvé à 20 mètres de son emplacement initial), ‘soulevé dans les airs, par une force inconnue’.
Source: IRIB
E-Cat, l'énergie libre qu'on vous cache
Le procédé que je vais vous faire découvrir s’appelle E-Cat. Il s’apparente aux transmutations à basse température. Il faut obtenir au départ une température de 150 à 500°C : mais, croyez-le ou non, c’est encore une très basse température, surtout s’il s’agit de phénomène nucléaire.
(A Cadarache, dans un projet insensé, on tente de faire une fusion avec 100 millions de degrés au départ : coûteuse utopie, qui ne fonctionnera jamais).
Ici, par contre, nous sommes dans la vraie vie :
Il s’agit de mettre en présence 50 grammes de poudre de nickel chauffée à 300°C (par l’électricité du secteur pour démarrer la réaction, mais l’appareil tournera ensuite en auto-suffisance) et de l’hydrogène, sous une pression de 2 à 20 bars, qui provient d’un réservoir incorporé au E-cat, en présence d’un catalyseur secret.
Cette réaction produit une énorme quantité de chaleur, avec un COP de 40 ou plus (coefficient de performance, rapport entre l’énergie récupérée et l’énergie injectée ).
Vous donnez 1 kilowatt à l’entrée, vous récupérez 40 kw à la sortie.
Les appareils commercialisés produiront de 10 à 30 kw/h, largement suffisants pour alimenter une habitation ou une petite voiture. On peut les accoupler pour faire des centrales, ce qui pourrait donner un recyclage à nos centrales nucléaires, qui ne sont jamais que des machines à vapeur sales. Mais là, c’est propre, sans résidu radio-actif, et sûr : ça s’arrête en quelques minutes.
La réaction produit des rayons alpha et gamma (gamma d’énergie inférieure à 300 keV).
Ce qui prouve qu’une réaction nucléaire est à l’œuvre.
Mais un blindage de plomb de 50 kg sur 2 cm d’épaisseur (soit un volume de 4 litres environ) les arrêterait et l’appareil en fonctionnement n’émettrait ni neutrons ni protons.
Quelques heures après l’arrêt, il n’y aurait plus de rayonnement ni de déchets radioactifs, même au centre du réacteur. Le “combustible” et les déchets ne seraient pas radioactifs. La radioactivité de l’eau chauffée ne serait pas modifiée.
En cas d’emballement du réacteur, un excès de production de chaleur réduirait l’efficacité de la réaction et tendrait à limiter cet excès. De plus, dans ce cas, le système de sécurité activerait le préchauffage auxiliaire pour renforcer cette limitation.
Lors de la maintenance, tous les 6 mois, le nickel serait recyclé et le petit réservoir d’hydrogène à 160 bars (quelques litres) remplacé. Au bout de 2,5 mois d’utilisation, le nickel contient environ 10 % de cuivre (isotopes 63 et 65) et 11 % de fer.
Vous devez y voir la preuve d’une transmutation du nickel en fer et en cuivre, et donc la preuve que la transmutation à basse température est possible.
Le nickel est abondant sur Terre et n’est pas cher.
« Si toute l’énergie consommée par les humains était produite ainsi, un pourcentage infime [10%] de l’extraction annuelle de nickel y suffirait »
Le E-cat est entièrement recyclable après une durée de vie de 15 à 20 ans, le nickel l’est à 80% environ.
Vous pouvez vous offrir 50 grammes de Nickel (20 Euros le kilo : une dose coûte donc un euro) et quelques litres d’hydrogène tous les six mois ? Alors vous aurez bientôt accès à cette énergie quasi illimitée, qui ne produit pas de CO2, pas de particules radioactives, et dont les rares rayonnements sont facilement arrêtables avec quelques kilos de plomb.
J’ai résumé pour vous cet article trouvé sur Wikipédia. Vous y aurez de plus amples détails, et en sortirez convaincus.
Notez que les expériences sont tout à fait actuelles, et suivez l’actualité de cette révolution technologique jour après jour. La commercialisation semble en cours.
Alors, cessez de vous tourmenter avec le nucléaire et ces pseudos trouvailles que sont le photovoltaïque et l’éolien : c’est du passé, c’est périmé. La question du CO2 ne se pose plus, et les écolos vont devoir trouver un autre dada. Charbon, pétrole, nucléaire, au musée : à terme, zéro pollution.
Nous allons vivre une ère nouvelle, et on va cesser de nous casser les oreilles avec l’énergie rare, la pollution, et tous ces concepts d’un autre âge.
Cela pose de gros problèmes : les sociétés pétrolières, les pays de l’OPEP, peuvent passer de l’opulence à la misère. L’Etat doit se trouver d’autres taxes. La production automobile doit se convertir à l’électricité. Les transports maritimes verront le retour des machines à vapeur ! Les trains auront le choix : électricité ou vapeur directement. Attendons-nous à quelques freins, donc.
Mais avec cette énergie quasi gratuite, quasi illimitée, on peut tout envisager : dessaler l’eau de mer et voir fleurir les déserts, faire disparaitre toute misère sur terre.
Un autre point important : tant que les intérêts pétroliers et nucléaires dominent (dominaient ?) la planète, de nombreux brevets du même ordre ont été confisqués ; il y a en effet de nombreux moyens de produire proprement de l’énergie gratuite. On peut s’attendre à les voir resurgir, dès lors qu’il sera plus rentable de les commercialiser que de les tenir secrets.
jeudi 26 janvier 2012
Interdiction de manger des foetus humains
Espérons que vous ne soyez pas en train de mordre dans votre sandwich au moment de lire ces lignes... Ralph Shortey, législateur en Oklahoma, vient d'introduire un projet de loi étrange. Il interdit la consommation de foetus humains avortés, qu'ils soient à manger en entier ou présent dans l'ingrédient d'une recette. Ne riez pas, c'est très sérieux.
Il y a quelques années, PepsiCola avait signé un contrat avec Senomyx afin que des agents de saveurs (édulcorant et exhausteur de goût) soient développés. Ils avaient été créés à partir de cellules souches de foetus avortés. Un deal qui avait choqué de nombreuses personnes.
Dé.L.
Le Roundup de Monsanto, lié à la stérilité, trouvé dans tous les échantillons d'urine analysés
Une étude récente menée par une université allemande a trouvé des concentrations très élevées de glyphosate, un produit chimique cancérigène que l’on trouve dans des herbicides comme le Roundup de Monsanto, dans tous les échantillons d'urine analysés. La quantité de glyphosate dans l'urine était stupéfiante, chaque échantillon contenant des concentrations de 5 à 20 fois la limite établie pour l'eau potable. Il s’agit juste d’un exemple de plus montrant que les pulvérisations d’herbicides sont, pour le moins, hors de contrôle.
Le glyphosate du Roundup de Monsanto affecte la santé mondiale
Ces informations arrivent à peine un mois après la découverte de la contamination des nappes phréatiques par le glyphosate du Roundup de Monsanto dans les régions où il est utilisé. Qu'est-ce que cela signifie ? Cela signifie que du glyphosate toxique pollue désormais l'eau potable du monde par l’intermédiaire de la contamination généralisée des nappes phréatiques, puits et sources. Les récents rapports révélant la présence de glyphosate dans tous les échantillons d'urine ne font que renforcer ces anciens constats.
Monsanto continue à prétendre que ses produits Roundup sont absolument sûrs pour les animaux et les humains. Or, de nombreux écologistes, scientifiques, militants, et même des médecins disent le contraire. Le glyphosate influe radicalement d'une façon négative sur le métabolisme des plantes. Il s’agit d’un poison systémique qui, en entravant la formation des acides aminés essentiels, entraîne l’affaiblissement des plantes qui finissent par en mourir.
Ce procédé semble avoir été élaboré non seulement pour ruiner le système agricole, mais pour compromettre aussi la santé de millions de gens dans le monde entier. Avec l'invention des cultures Roundup Ready de Monsanto, les super mauvaises herbes résistantes envahissent les terres agricoles et la santé publique est attaquée. En fin de compte, le glyphosate laisse aussi derrière lui des résidus sur les cultures Roundup Ready, ce qui suscite davantage de préoccupations pour la santé publique. Le glyphosate contribue même à la montée en flèche du taux de maladie mentale et d'obésité par l’entremise de la raréfaction de la flore intestinale bénéfique qui contrôle directement ces fonctions. Mais il ne se borne certainement pas à cela.
Des chercheurs ont testé le Roundup sur des rats mâles adultes à une concentration comprise entre 1 et 10.000 parties par million (ppm). Une à 48 heures après l'exposition, ils ont constaté que les cellules testiculaires des rats adultes étaient endommagées ou détruites. Même à une concentration de 1 ppm, le Roundup était capable d'affecter les sujets testés en réduisant de pas moins de 35% leur concentration de testostérone.
Original : naturalsociety.com/monsantos-infertility-linked-roundup-found-in-all-urine-samples-tested/
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
Homme de Flores: espèce unique et intelligente
IRIB- Le petit homme, découvert, fin 2004, sur l’île indonésienne de Flores continue à semer le doute sur l’évolution des hominidés. En effet, après avoir effectué une reconstitution, en 3 dimensions, de la cavité crânienne de l’Homo Florensiensis, les premières analyses tendent à démontrer qu’il s’agirait d’une espèce unique et intelligente! Malgré un cerveau, environ, trois fois plus petit que celui de l’Homo Sapiens, l’Homme de Flores possède un lobe frontal et temporal développés, et, donc, présentant les facultés de raisonnement et de mémoire. Un résultat qui vient contredire ceux qui pensaient avoir affaire à des individus atteint de microcéphalie, une maladie réduisant la taille du crâne, et ceux qui voyaient une relation entre taille du cerveau et intelligence. L'Homo Florensiensis appartiendrait, donc, a une nouvelle espèce intelligente, qui aurait évolué vers une réduction de taille, pour s’adapter à son environnement
Et ce n'est pas le seul qui disparaît depuis plusieurs mois !
Triste réveil, pour les habitants de Bolotniko, un petit village russe, composé, essentiellement, de pêcheurs: à la place du lac, situé près de leurs habitations, il ne reste plus qu’un immense cratère boueux, comme si l’étendue d’eau s’était volatilisée en une seule nuit!
Dimitri Zaitsev, le représentant du Ministère des situations d’urgence, s’est exprimé, sur la chaîne NTV venu faire un reportage parmi les villageois, sous le choc. «Si quelqu’un s’était trouvé, dans cette catastrophe, il n’aurait eu à peu près aucune chance de survie. Les arbres ont basculé vers le bas, sous le sol», a-t-il commenté. Certains responsables de la zone sinistrée estiment probable que la totalité du lac a été aspiré, dans un réseau de grottes ou par un cours d’eau souterrain, tandis que plusieurs habitants (résurgence de la guerre froide) pensent davantage à une sombre machination américaine... En tout cas, plusieurs lacs de Russie semblent avoir subi le même sort, ces derniers mois.
Source: IRIB
Monsanto: “Il n’y a aucune raison de tester si les aliments génétiquement modifiés sont sains pour les humains”
Les deux piliers du détournement de la science par l’oligarchie sont:
1- Le profit pur et simple
2- Un agenda eugéniste de dépopulation motivé par leur conviction idéologique pseudo-scientifique puisée et justifiée par le malthusianisme (néo-malthisianisme) et le darwinisme-social
Monsanto bouffe aux deux rateliers et ses dirigeants sont les maîtres des “revolving doors” entre le gouvernement américain et le cartel des multinationales financières et industrielles.
Sur le sujet eugéniste, plus d’infos ici, on y retrouve toujours les suspects habituels: fondations Rockefeller (qui finança le programme eugéniste nazi au travers du Kaiser Wilhem Institute), Carnegie et la litanie des multinationales affiliées. Monsanto n’est qu’une version moderne de la fange psychopathe qui sévit au sein de “l’élite” depuis au moins le XVIII ème siècle (Malthus). Du reste, comme expliqué dans l’article ci-dessus mentionné (le lien “ici” ), suite à l’horreur nazie de la seconde guerre mondiale, la terminologie “eugénisme” a été remplacée par un mot plus moderne: la “génétique”. tout ceci n’est que la continuation du programme obsessionnel des psychopathes du pouvoir de l’ombre pour contrôler tous les aspects de la vie sur terre, du micro-organisme à l’humain en passant par la technologie.
– Résistance 71 –
Il y a de plus en plus de preuves scientifiques qui prouvent que les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont différents des organismes naturels de manière inhérente, ceci incluant la façon dont le corps les assimile, ainsi que la façon dont le système immunitaire réponds à leur présence. Mais Monsanto, le plus gros fabricant d’OGM au monde pense que les OGM ne sont pas différents des organismes naturels et que tester les OGM est à la fois inutile et sans valeur intrinsèque.
Dans la section de leur page “Sécurité alimentaire” sur leur site internet à la question de “Pourquoi de tests cliniques humains concernant les cultures OGM n’ont-ils pas été entrepris ?”, le géant de la biotechnologie explique son opinion sur le fait que les OGM sont “substantiellement équivalents” aux organismes naturels. D’après Monsanto, puisque les concentrations de proteines, d’hydrates de carbone et autres nutrients varient parmi les cultures naturelles aussi bien que parmi les cultures OGM, alors ces différences sont automatiquement classées sans importance dans le domaine de la sécurité alimentaire des OGM.
De plus, Monsanto affirme que ses injections d’ADN étrangères dans ses cultures OGM sont également saines car, accrochez-vous bien, l’ADN est également présente dans la culture naturelle. Aucune importance que l’ADN injectée est étrangèrre à la variété et non naturelle et qu’elle est utilisée pour altérer la structure génétique entière de la plante OGM; d’après Monsanto, son ADN non naturel est automatiquement non-toxique, parce que chaque plante a aussi son ADN. Circulez y a rien à voir…
En utilisant cette même logique de l’absurde, il n’y aurait pas de problème à injecter de l’ADN d’animal dans un foetus humain par exemple, parce que le bébé contient également de l’ADN, correct ? Ou bien aussi boire de l’antigel qui est fait d’atomes et votre corps est fait d’atomes ? Sur les bases pseudo-scientifiques de Monsanto qui n’ont aucun sens, tout peut-être considéré comme non-toxique et sain parce que tout est fait d’atomes, tout comme nos corps !
De l’ADN étrangère dans des OGM responsable d’inflammations causant des maladies et des désordres auto-immunitaires.
Au sujet de l’injection d’ADN étrangère dans les cultures OGM, l’association Physicians and Scientists for Responsible Application of Science and Technology (PSRAST) a pris une approche plus scientifique de la question en enquêtant sur la façon dont le corps métabolise l’ADN étrangère, leurs études ont montré que les choses ne sont pas aussi rose que Monsanto veut bien le dire. Comme on pouvait s’y attendre, l’ADN étrangère n’est pas bien reconnu par le corps et stimule négativement le système immunitaire de telle façon que cela cause des inflammations causant des maladies.
Monsanto ne se préoccuppe pas de la science et a juste pris la décision arbitraire de ne pas tester les résultats d’ingestion d’OGM chez les humains pour prouver ce qu’elle avance. En concluant par sa diatribe sans substance scientifique que les tests OGM sur les humains ne sont pas nécessaires, le géant de l’agriculture dit ici simplement: “Pas la peine, aucune valeur” dans les tests de sécurité des OGM, en d’autres termes, si Monsanto dit que c’est sain, alors.. c’est sain !
Le simple fait que quiconque puisse considérer cette déclaration aveugle ne servant que des intérêts particuliers comme étant scientifiquement valide paraît être singulièrement effrayant par lui-même, sans compter que le gouvernement américain approuve sans sourciller et ouvertement un tel non-sens et l’a utilisé pour établir une politique alimentaire. Pour le dire plus simpement: les OGM n’ont jamais été testé proprement sur les humains parce que Monsanto pense que cela n’est pas nécessaire, et la plupart de ceux en contrôle de la politique alimentaire sont tout à fait satisfait de cet état de fait.
Ethan A. Huff
Url de l’article original: http://www.infowars.com/monsanto-there-is-no-need-for-or-value-in-testing-the-safety-of-gm-foods-in-humans/print/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Les sources pour cette article incluent:
ALIMENTATION : La malbouffe ramollit le cerveau
Après la toxine botulique qui attaquerait les neurones des candidates à la jeunesse éternelle, ce serait maintenant la malbouffe qui ferait des ravages dans le cerveau de nos petits...
En effet, d’après une récente étude menée en Grande-Bretagne sur 14 000 enfants nés en 1991 et 1992 et publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health, un lien pourrait exister entre la malbouffe pendant la petite enfance et un plus faible quotient intellectuel.
Cette étude a pris en compte leur mode de vie, leur état de santé ainsi que le niveau d’éducation de la mère, la classe sociale à laquelle ils appartiennent, la fréquence d’utilisation de livres ou de la télévision entre 3 et 8 ans, âge auquel les enfants ont passé un test de QI .
Les résultats s’avèrent sans appel : les enfants ayant eu durant ce laps de temps une alimentation riche en sucres et en graisses ont un QI inférieur de 5 points à celui des enfants ayant bénéficié d’un régime alimentaire équilibré
Le cerveau, organe très sophistiqué, commande le corps et consomme tous les jours 20% de notre énergie. Et il en faut des nutriments pour produire tous les différents neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine…) qui participent à la construction de notre mémoire, régule nos humeurs et nos comportements.
Il faut bien reconnaître que le fast-food est aujourd'hui plus qu’une alimentation, c'est aussi un style de vie. Bien évidemment, il serait simpliste et incorrect de n’accuser que la nourriture que nous mangeons... Mais rappelez-vous Morgan Spurlock, journaliste, qui avait expérimenté sur lui les effets de cet alimentation. Dans le documentaire "Super Size Me", il décrit comment en 30 jours (en ne mangeant que Mc Donald's), il a pris 11 kg, détraqué son foie et commencer à sombrer dans la dépression.
Vous reprendrez bien un peu d'hamburger ?
Le Nutella contient le phtalate le plus dangereux : DEHP
Avec les trois quarts des familles qui consomment du Nutella en France, nous sommes le plus grand consommateur de cette pâte à tartiner au monde ! Non satisfait d’être un aliment très gras et très sucré (voir article ici), le Nutella contient également le phtalate le plus dangereux qui soit : le DEHP. Ferrero reconnait que ce phtalate est présent dans le Nutella mais affirme que la quantité est trop faible pour pouvoir avoir un impact sur la santé.
Qu’est-ce que le phtalate DEHP ?
Le phtalate DEHP est une substance chimique qui permet d’augmenter la flexibilité des matières plastiques. On retrouve les phtalates dans les emballages plastiques souples comme les barquettes alimentaires, sachets, films plastiques etc. Ils migrent de l’emballage dans le produit, affirme une toxicologue de l’Office fédéral de l’environnement en Allemagne. C’est ainsi que nous en retrouvons sur nos tartines lorsque nous mangeons du Nutella.
Quels sont les effets des phtalates comme le DEHP ?
Les phtalates sont des perturbateurs hormonaux qui provoquent des dérèglements induisant notamment la stérilité chez l’homme. Il est estimé que, dans les pays industrialisés, un homme produit deux fois moins de spermatozoïdes que n’en produisait son grand père au même âge. Les phtalates sont également soupçonnés d’être cancérigènes.
En 2008, après avoir fait une étude sur le développement de testicules in vitro, l’INSERM a affirmé que les phtalates étaient “délétères pour la mise en place du potentiel reproducteur masculin dans l’espèce humaine”. Cette substance agit même avant la naissance sur le développement du fœtus de la femme enceinte.
L’Office fédéral de l’environnement allemand a fait une étude sur 600 enfants et constate que 100% d’entre eux présentent des traces de phtalates dont 5 importants. L’étude rajoute que chez 20% d’entre eux les phtalates sont en quantités toxiques. Elle estime que si l’on prends en compte “l’effet cocktail” de ces différentes substances, 80% des enfants en absorberaient en trop grande quantité.
La Comission européenne a déjà interdit l’usage du DEHP dans la composition des jouets pour enfants depuis 1999 et prévoit son interdiction totale en 2012.
Aspartame : danger pour les futures mères
Des scientifiques ont écrit au ministre pour dénoncer les risques de prématurité.
"Le doute devrait profiter au consommateur". Des scientifiques, gynécologues et pédiatres regroupés au sein du Réseau environnement santé ont envoyé une lettre, au ministre de la Santé à l’occasion de la journée mondiale de la prématurité jeudi. Ils demandent à Xavier Bertrand d'alerter les femmes enceintes sur les risques d'accouchement prématuré si elles consomment de l'aspartame, cet édulcorant que l'on trouve notamment dans les boissons light.
> Découvrez en cliquant ici la lettre adressée au ministre de la Santé : http://fichier.europe1.fr/infos/france/lettre_aspartame_bertrand_15112011.pdf
Des risques à partir d'une canette par jour :
Les chiffres se passent de commentaires. Les scientifiques s’appuient sur une étude danoise, publiée il y a un a un an, selon laquelle pour une femme enceinte qui boit un soda light par jour, le risque d'accouchement prématuré de l'enfant augmente de 27%. Pire : quatre canettes augmenteraient le risque de... 78%. Et ce, alors que le nombre de prématurés ne cesse d’augmenter : un rapport de la DRESS paru en octobre dernier "montre que la prématurité est passée de 5,9% en 1995 à 7,4% en 2010 toutes prématurités confondues, soit 15% en 15 ans".
"Prendre une position claire sur cette information me paraîtrait être une bonne chose", estime le docteur Pierre Marès, chef du service de gynéco-obstétrique au CHU de Nîmes et signataire de cette lettre adressée au ministre. Selon lui, adresser un message de prévention aux femmes enceintes pourrait permettre de réduire la prématurité. "Si on gagne 25% de prématurité, c’est énorme", affirme-t-il.
Le plus inquiétant pour Réseau environnement santé, c’est que "plusieurs études sont venues confirmer les risques pour la santé consécutifs à la naissance prématurée tardive", soit à partir de 32 semaines. Les enfants nés prématurés seraient ainsi sujets à "des retards de développement deux fois plus importants à l’âge de deux ans", à "un risque d’autisme multiplié par cinq", à "une morbidité respiratoire augmentée", à "une vulnérabilité infectieuse aux germes" et à "un risque significatif de dépression à la naissance multiplié par 1,7".
Fort de tous ces éléments, les scientifiques jugent que "les données scientifiques sont suffisantes pour agir, c’est-à-dire, pour diffuser des conseils de prudence auprès des femmes enceintes", écrivent-ils à Xavier Bertrand. En février dernier, les experts de l'Autorité européenne de sécurité des aliments avaient de leur côté écarté tout risque concernant l'aspartame.
SOURCE : EUROPE 1 http://www.europe1.fr/ France/ Aspartame-danger-pour-les-f utures-meres-820071/#
Nutella, de l’huile de palme sur nos tartines !
Parmi les produits qui contiennent de l’huile de palme, on retrouve le chouchou des petits et grands : le Nutella. La pâte à tartiner que l’on étale sur nos tartines au petit déjeuner et au goûter contient énormément de sucres et de graisse. Pas n’importe quelle graisse : derrière l’appellation « huile végétale », c’est l’huile de palme que l’on retrouve, nocive pour l’environnement et la santé.
Lorsqu’on décortique l’étiquette d’un pot de Nutella, on s’aperçoit bien vite que les noisettes, le cacao et le lait écrémé ne représentent que 27% de la composition. C’est pourtant ce qui est bien mis en évidence dans les campagnes publicitaires de la marque. Un produit est présenté comme « bon pour la santé, parce qu’il apporte de bons éléments, alors que ce qui est plus inquiétant, c’est la part occupée par le sucre et l’huile de palme : 60 %.
Lorsqu’on se penche sur les pâtes à tartiner alternatives, on se rend compte qu’il est possible de trouver des produits composés d’ingrédients plus sains et plus respectueux de l’environnement. Certaines garantissent aussi des produits issus du commerce équitable. La preuve donc qu’en se penchant sur une étiquette, on peut faire un geste important pour la planète et pour la santé de nos enfants, même si cela a un coût plus élevé.
PETITE VIDEO D'ILLUSTRATION : http://www.youtube.com/ watch?feature=player_embedd ed&v=NO0mapch8mw
mercredi 25 janvier 2012
DANONE OBLIGÉ DE RETIRER SA PUBLICITÉ MENSONGÈRE APRÈS 15 ANS DE MATRAQUAGE ET DE DÉGÂTS
Le « pavé dans le pot de yaourt » qu'a lancé Didier Raoult *, chercheur français, dans la prestigieuse revue scientifique « Nature » de septembre 2009 a fini par être payant.
Pour le patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux pro biotiques que l'on nous fait avaler depuis près de 20 ans auraient une grosse part de responsabilité dans l'épidémie d'obésité qui frappe les enfants.
Les pro biotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts sont selon les allégations de la marque assénées à la télévision, censées « booster » les défenses immunitaires. On en trouve plus de 1 milliard par pot d'Activia ou d'Actimel.
Le hic est que ces bonnes bactéries «actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire grossir plus rapidement cochons et poulets. Un porc ainsi gavé de pro biotiques, c'est plus de 10 % de gagné sur la balance. Danone pousse donc à « élever » nos enfants comme des cochons ou des poulets !
En fait, en début d'année, des chercheurs ont eu l'idée de comparer la flore intestinale des obèses et des non obèses. Et là, surprise, les premiers étaient bourrés de pro biotiques, ceux qu'on trouve justement dans les yaourts «santé plus».
Didier Raoult commente : « On a autorisé pour l'alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l'effet sur les enfants ». Du coup, celui-ci a réclamé des études pour connaître le rôle précis de TOUS les produits lactés dans l'épidémie d'obésité infantile.
En outre, il n'y a pas que les enfants qui sont victimes de cette supercherie : « J'ai rencontré de nombreuses femmes potelées bien que sous alimentées, et qui cherchaient désespérément à maigrir en se limitant à quelques yaourts par jour plus quelques babioles ». Et désespérante désillusion, elles continuaient à grossir, étaient de plus en plus fatiguées et fragiles....
Finalement, les semeurs d'alerte indépendants ont fini par émouvoir les services officiels avant que le scandale n'éclate trop au grand jour.
C'est ainsi qu'ils viennent de mettre la pression sur le groupe Danone, l'obligeant, selon les termes délicats des grands journaux « à revoir sa copie » (Un monstre comme Danone, ça se ménage). Il faut tout de même réaliser que cela pourrait être un coup dur pour le lobby puisque les groupes Actimel Europe et Activia Europe pèsent ensemble > 1,5 milliards d'Euros sur un chiffre total Danone de 15 milliards, soit 10 %.
Mais ne nous faisons guère de soucis pour cette entreprise de tricheurs, car entre ses discrètes et adroites manœuvres de retrait publicitaires et les addictions de beaucoup de consommateurs, il n'y a pas vraiment le « feu au lac », en attendant qu'on nous invente une autre « Salade à la mode ».
* Didier Raoult est professeur de microbiologie et spécialiste des maladies infectieuses. Il dirige l'Unité de Recherche en Maladies Infectieuses et Tropicales Emergentes (URMITE) de Marseille. Le Grand Prix Inserm 2010 lui a été décerné à 58 ans pour l'ensemble de ses travaux sur les agents pathogènes et sa découverte des virus géants.
Pour aller plus loin :
ACTIMEL 2011 : ON PARLE DE LA BOUTEILLE MAIS PLUS DE L EFFET MAGIQUE SUR LE CORPS... >>>> http://www.wat.tv/video/ danone-produits-frais-franc e-3lkbv_37jwv_.html
ARTICLE LIBERATION : http://www.liberation.fr/ economie/ 0101630540-danone-le-bonime nt-des-alicaments
Pour aller plus loin :
ACTIMEL 2011 : ON PARLE DE LA BOUTEILLE MAIS PLUS DE L EFFET MAGIQUE SUR LE CORPS... >>>> http://www.wat.tv/video/
ARTICLE LIBERATION : http://www.liberation.fr/
mardi 24 janvier 2012
Une preuve de vie sur Vénus?
Selon Leonid Ksanfomaliti, la photographie qui prouve qu'il y a de la vie sur Vénus a été prise par la sonde soviétique, Venus-13, qui a atterri à la surface de la planète il y a trente ans de cela.
Cet expert dit avoir réexaminé certains clichés et s'être aperçu qu'un scorpion ainsi que d'autres formes y avait été photographiées. "Ils ont tous émergé, ont avancé et puis ont disparu", a-t-il expliqué dans le Solar System Research magazine. D'après lui, ces formes semblent vivantes et cela reviendrait à prouver donc qu'il y a une possibilité de vie sur l'Etoile du Berger.
Les scientifiques n'ont jamais exclu la possibilité qu'une vie ait pu exister sur Vénus dans le passé, l'hypothèse que Vénus ait vu le jour de la même façon que la Terre et qu'il y ait pu y avoir de l'eau est d'ailleurs envisagée. Mais la plupart des recherches réalisées jusqu'ici n'ont jamais pu le prouver. En outre, la température relevée sur la planète à savoir 464 degrés Celsius les faisait douter qu'une quelconque vie puisse être découverte à l'heure actuelle.
De son côté, la Nasa dit n'avoir jamais vu aucune présence de vie sur Vénus sur les nombreuses images beaucoup plus détaillées reçues grâce à la sonde Magellan envoyée sur Vénus en 1989. (CB) 7sur7
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