dimanche 1 avril 2012

Vaccins et autisme : Le secret que vous n’êtes pas censé savoir


Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le nombre d’enfants autistes a augmenté de 78 pour cent en Zunie au cours de la dernière décennie. On estime aujourd’hui qu’un enfant sur quatre-vingt-huit enfants est atteint d’une forme quelconque de trouble autistique. Nos écoles sont véritablement bondées d’enfants ayant des « besoins spéciaux », et des millions de parents tentent désespérément de comprendre pourquoi tant d’enfants ont ces graves problèmes de développement. Curieusement, la plupart des enfants autistes étaient au départ tout à fait normaux. La plupart d’entre eux se développent très bien pendant la première ou les deux premières années, et puis se produit une chose dramatique. Qu’est-ce donc que cela pourrait être ? Eh bien, il y a un secret que vous n’êtes pas censé savoir. Ce secret est que les vaccins sont l’une des causes principales de l’autisme. Le pourcentage de nos enfants atteints d’autisme a augmenté avec le nombre de vaccins qui leurs sont administrés. Aujourd’hui, dans certaines régions de Zunie, plus de 30 vaccins sont injectés aux jeunes enfants avant trois ans. Quand vous injectez tant de mercure et tant d’autres produits toxiques directement dans le sang des jeunes enfants vulnérables, des choses graves sont inévitables. Les preuves liant les vaccins à l’autisme continuent à affluer, et pourtant l’establishment pharmaceutique nie toujours avec vigueur qu’il pourrait possiblement y avoir un lien entre les deux.

Chaque année, des milliers et des milliers de parents amènent leurs bambins en parfaite santé chez le médecin pour le faire vacciner, et finissent plus tard par le regretter amèrement. Peu de temps après l’un de leurs trop nombreux vaccins, beaucoup d’enfants tombent malades, arrêtent de parler et ne se remettent jamais. Les parents de ces enfants restent complètement anéantis.

Si vous vous mettez à surfer sur Internet, vous pourrez trouver assez de témoignages de ce genre pour rester à les lire pendant des jours entiers.

Or, pour l’establishment pharmaceutique, aucun lien ne doit jamais être admis entre vaccins et autisme. Des centaines de milliards de dollars de profits sont en jeu, et reconnaître que les vaccins provoquent l’autisme aurait des implications juridiques absolument hallucinantes.

Jamais, jamais, jamais, jamais, les grandes compagnies pharmaceutiques ne reconnaîtront ce lien. Et puisque ces entreprises dépensent aussi des milliards de dollars en publicité dans les médias grand public, ceux-ci non plus ne reconnaîtront jamais ce lien.

C’est entièrement une question d’argent.

C’est pourquoi ils doivent se comporter d’une manière incroyablement intrigante quant à ce qui est à l’origine de la poussée dramatique des cas d’autisme en Zunie.

Et « poussée dramatique » est en réalité un euphémisme.

Il devient vraiment difficile de nier que l’épidémie d’autisme est ici absolument explosive. Ceci provient d’un article récent de CNN :

En 2000 et 2002, l’autisme était estimé toucher environ 1 enfant sur 150. Deux ans plus tard, à 8 ans, 1 enfant sur 125 était autiste. En 2006, ce rapport était de 1 sur 110, et les toutes dernières données – de 2008 – suggèrent qu’un enfant sur 88 est autiste.

Quelle en est donc la cause ?

Les mass medias lancent toutes sortes de théories bizarres.

Mais un nombre croissant de parents en arrivent à une conclusion. Malgré la propagande écrasante dans les médias grand public, selon laquelle les vaccins ne provoquent pas l’autisme, un sondage a révélé qu’un parent sur quatre pense désormais que les vaccins sont à l’origine de l’autisme.

De ce fait, pourquoi tant de parents ne sont pas écoutés par les « experts » ?

Eh bien, c’est à cause de ce qu’ils voient dans la vie réelle. Ce qui suit provient d’un article récent du Huffington Post :

C’est un fait que de nombreux enfants atteints d’un désordre du spectre autistique voient leur développement normal régresser juste au moment où on leur administre de multiples vaccins, lors de leurs visites habituelles chez le médecin. Les responsables de la santé estiment que le moment est purement fortuit.

La régression survient généralement entre 12 et 24 mois, bien qu’une étude ait découvert que certains enfants montrent des signes d’autisme dès six mois, mais jamais avant cet âge.

À l’âge de six mois, la plupart des enfants zuniens ont reçu environ 18 inoculations contenant 24 vaccins contre neuf maladies. Au cours des deux années suivantes, ils recevront encore neuf piqûres contenant 14 vaccins contre 12 maladies.

Ainsi, quand un enfant régresse à six mois, ou à 18 mois, cette tragédie arrive en période de vaccination intensive. Dans de nombreux cas, des parents signalent que leur enfant a eu une réaction anormale après avoir été vacciné (convulsions, poussées de fièvres, diarrhées, léthargie, cris aigus et/ou d’autres symptômes).

Si votre enfant cessait de parler dans les jours (voire les heures) suivant un vaccin, comment vous sentiriez-vous ?

Des grandes compagnies pharmaceutiques financent de nombreuses études pour essayer de montrer l’absence de lien entre vaccins et autisme, mais de nombreuses études indépendantes contredisent leurs conclusions. Ce qui suit est tiré d’un article de Paul Joseph Watson :

L’épidémiologiste Tom Verstraeten et le Dr Richard Johnston, immunologiste et pédiatre à l’université du Colorado, ont tous deux conclu que le thimérosal est responsable de la poussée dramatique des cas d’autisme, mais leurs conclusions ont été rejetées par le CDC.

En Zunie, les cas d’autisme ont maintenant bondi de plus de 2700 pour cent depuis 1991, qui est l’époque où les vaccins pour enfants ont doublé, et le nombre de vaccinations ne fait qu’augmenter. À peine un enfant sur 2.500 était diagnostiqué autistique avant 1991, alors qu’un enfant sur 91 est à présent atteint par cette maladie, contre un sur 150 il y a six ans.

Et si tout ce mal provenait du thimérosal ?

Eh bien, le thimérosal contient du mercure, l’une des substances les plus toxiques connues de l’humanité. Il a été prouvé que le mercure compromet gravement le développement neurologique. Ce qui suit vient directement du site Internet de l’EPA (Agence de protection environnementale) :

Chez le fœtus, le nourrisson et l’enfant, le principal effet sur la santé du méthylmercure est de nuire au développement neurologique. L’exposition au méthylmercure dans l’utérus, qui peut résulter de la consommation par la mère de poissons et crustacés contenant du méthylmercure, peut affecter le cerveau et le système nerveux en pleine croissance du bébé. Des conséquences sur la pensée cognitive, la mémoire, l’attention, le langage, l’adresse manuelle et l’habileté spatiale visuelle [capacité à focaliser, strabisme ? ndt] ont été observées chez les enfants exposés au méthylmercure dans l’utérus.

Pourquoi donc grand dieu voudrions-nous inoculer d’énormes doses de mercure à nos jeunes enfants, juste au moment où leur cerveau commence à se développer ?

C’est littéralement fou de faire un truc pareil !

Dans le monde entier, beaucoup d’autres pays ont reconnu cela et ont interdit le thimérosal dans les vaccins.

Ce qui suit provient d’un article de Dawn Prate :

« En 1977, une étude russe constata que des adultes exposés à l’éthylmercure, la formule mercurielle présente dans le thimérosal, souffraient de dommages cérébraux quelques années plus tard. Les études sur l’intoxication au thimérosal ont aussi décrit une nécrose tubulaire rénale et des lésions du système nerveux, dont la perte de sensibilité, le coma et la mort. La conséquence de ces constatations fut que la Russie interdit le thimérosal dans les vaccins des enfants en 1980. Le Danemark, l’Autriche, le Japon, la Grande-Bretagne et tous les pays scandinaves, ont également interdit cet agent de conservation. »

Dans ces conditions, pourquoi n’est-il pas interdit ?

Et pourquoi, chez nous, de si nombreux parents permettent toujours de l’injecter en quantité très élevée directement dans le sang de leurs précieux bambins ?

Des milliers et des milliers de parents sont prêts à témoigner qu’ils ne laisseraient jamais vacciner leurs enfants s’ils pouvaient revenir en arrière et recommencer.

Voici quelques témoignages sur les vaccins et l’autisme, qui ont été postés par des lecteurs d’Organic Health :

Katrina : Mon fils a développé de l’autisme à 15 mois, suite à ses vaccinations. Ce n’est guère surprenant puisqu’il avait eu 26 vaccinations à ce moment-là. Son organisme fragile ne pouvait supporter davantage de poison et son parler de 19 mots (régulièrement) lors de son bilan de santé à 15 mois avait régressé à 2 mots (rarement) lors de son bilan de santé à 18 mois. Je crois FERMEMENT que les médecins sont manipulés ou trompés à la faculté de médecine… et ainsi… n’en sortent que pour manipuler ou tromper leurs patients. 3 MOTS… NOUVEL ORDRE MONDIAL… Faites des recherches sur ça. Je suis heureuse de voir que beaucoup d’entre nous, les « moutons », commencent à se réveiller. Au fait, il s’agit intégralement de la révélation biblique. Dans l’Apocalypse, la ville de Babylone est dite « avoir trompé le monde avec sa SORCELLERIE » (la traduction grecque indique Pharmekia… ce qui veut direProduits pharmaceutiques !!) Quand est-ce que les églises CHRETIENNES prendront conscience de cela ??

Anonyme : Eh bien, je n’ai pas un mais deux enfants atteints d’autisme suite aux vaccins infantiles. J’ai fait confiance aux médecins qui m’ont fait peur à ce propos. Ils m’en ont parlé et dit qu’il y avait relativement peu de chance que mes enfants aient une réaction. Eh bien, après les piqûres, mes enfants sont devenus si malades que j’ai dû les mettre tous les deux à l’hôpital sous perfusion pendant 4 jours. Leurs membres étaient flasques et ils étaient incapables de garder la tête droite – tout ce qu’ils pouvaient faire, c’était de rester couchés là, avec de la diarrhée et de la fièvre. Je pensais qu’ils allaient mourir. Après cela, ils ont été retardés et le diagnostic d’autisme est tombé. Maintenant, expliquez avec vos statistiques combien d’enfants étaient autistes avant les années 80… 1 sur 10.000 !! Récemment, cela a été évalué entre 1 sur 60 et 1 sur 90, en fonction de la source ou de l’État. Il n’existe pas statistiquement de chose comme une épidémie génétique. Vraisemblablement, une composante génétique [*] ou une faiblesse est déclenchée par quelque atteinte environnementale à l’organisme. Je dirais qu’un coupable probable est les vaccins combinés à notre régime moderne d’aliments crades, hautement transformés, et aux cochonneries en plus du manque de vrai soleil et de vitamine D3.
[* Ndt : Des médecins racontent que l’autisme est dû à un gène, comme si une chose pareille était possible. C’est pour ça que des parents de victimes répercutent sans réfléchir cette connerie d’hérédité génétique.]

Cindy : J’ai eu quatre enfants et on ne m’a jamais dit de me faire vacciner contre la grippe ni encouragée à le faire en obstétrique et gynécologie durant mes grossesses. Je vous en prie, refusez ce vaccin si vous êtes enceinte et rejetez le pour vos enfants ! Les vaccins provoquent de nombreuses maladies et même des décès. J’ai presque perdu ma fille autiste, elle s’éteignait, mais j’ai arrêté les vaccins et elle a retrouvé la santé. Pourquoi quelqu’un permettrait-il d’injecter ces poisons à son enfant nouveau-né. Ils sont la cause de beaucoup de maladies infantiles et de maladies d’aujourd’hui. Autisme, trouble déficitaire de l’attention, trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité, asthme, allergies et d’autres encore. Beaucoup d’informations sont disponibles pour en savoir plus. S’il vous plaît, découvrez la vérité pour vous-même…

Freddie : Lorsque notre fille avait 18 ans, elle a fait une grave réaction à sa vaccination – température extrêmement élevée, inconsolable, et cela a duré plusieurs jours après la piqûre – c’était affreux. Elle a même montré des signes d’autisme, ce qui nous a fait craindre à qu’il n’y aurait pas de fin, mais finalement ça s’est calmé. Nous avons commencé à nous méfier de tous les vaccins et regrettons maintenant ceux qui ont été faits à nos trois enfants. Bien sûr, le médecin nous a fait tous passer un épisode difficile. Nous avons pratiqué l’enseignement à domicile, et j’ai entendu dire que depuis qu’ils sont éduqués chez eux, les enfants ayant d’habitude moins de vaccins (les écoles exigent que tous les vaccins soient « à jour »), il y a moins de cas d’autisme. Je pense que de nombreuses personnes ont pris de mauvaises décisions en plus de s’enrichir beaucoup avec les vaccins. Dieu ne nous a pas destiné à nous faire injecter des poisons dans le sang. Au dos des dossiers de mes enfants il est dit « Baby Shots, A Healthy Dose of Love! » [Piqûres pour bébé, une bonne dose d'amour !] – PAS MOI.

DA : Avez-vous une idée du nombre de gens que je connais, surtout des petits garçons, qui ont développé de l’autisme après l’une de ces très petites piqûres inoffensives que l’on nous dit parfaitement sûres ? Près d’une douzaine ! Sans étudier chaque chose se passant dans notre corps, nous sommes des agneaux à l’abattoir. Notre vie et celle de nos enfants sont en jeu. Le jour où les compagnies pharmaceutiques vaccineront à l’œil, quand elles ne feront plus de fric avec ça, je leur ferai plus confiance. Jusqu’à ce jour, soyez très prudent car nous sommes tous manipulés au nom du monstrueux dollar !

AJD : L’autisme touche 1 enfant sur 91, avec 1 garçon sur 58 depuis le mois dernier. Les signes d’autisme ne sont pas visibles avant que l’enfant ait au moins 12 mois. Jusque-là, FAITES ATTENTION. Suivez le calendrier de vaccination de remplacement affiché sur GenerationRescue.org. Mangez des aliments bio, arrêtez le sucre et la malbouffe, prenez vos vitamines ou préparations multivitaminiques prénatales après la naissance et procurez-vous de la vitamine D et B12 certifiées après l’accouchement. ALLAITEZ VOTRE BÉBÉ LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE. Dans l’intervalle, des suppléments de vitamine A et C sont utiles pour le développement de son cerveau et de son système immunitaire. Des probiotiques peuvent aussi être donnés au nouveau-né. PRENEZ SOIN DE VOUS ET DE VOS ENFANTS MAINTENANT… Espérons que votre enfant ne rejoindra pas dans l’avenir l’épidémie d’autisme, d’allergies alimentaires graves, de maladies auto-immunes ou même de cancer. Je vous souhaite à toutes la meilleure maternité possible. Sincèrement, de la part d’une mère démolie par un vaccin il y a plusieurs années, vivant avec des maladies auto-immunes et deux enfants, dont l’un est autiste. Depuis lors, nous avons commencé un régime sans gluten ni caséine pour toute la famille, une intervention biomédicale pour mon fils autiste, à manger davantage d’aliments bio et à prendre des suppléments pour améliorer notre santé au quotidien. Dieu vous bénisse.

Mais ce ne sont pas seulement les jeunes enfants qui sont démolis par les vaccins.

Des milliers et des milliers de femmes enceintes ont perdu leurs bébés peu de temps après avoir été vaccinées [ce fut signalé partout en masse après la vaccination contre la fameuse grippe charcutière, ndt].

Des milliers et des milliers d’adultes ont contracté une incapacité permanente à la suite de vaccins, très peu de temps après.

Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver des dizaines d’histoires d’épouvante vaccinale ici et là.

La bonne nouvelle est que, si votre enfant est atteint d’autisme, il y a de l’espoir.

Dès que vous avez compris que les vaccins peuvent provoquer l’autisme, il devient beaucoup plus facile à soigner. Ce qui suit est une citation du Dr Russell Blaylock :

Les études sur les enfants autistes ont souvent montré des concentrations très élevées de mercure, sans découvrir d’autres sources d’exposition que les vaccins. Ces concentrations sont égales à celles observées chez les adultes exposés à des poisons industriels. Des améliorations cliniques spectaculaires de l’autisme ont été plusieurs fois constatées grâce au comportement social et aux interactions sociales entourant les enfants dont le mercure a été chélaté. Les résultats dépendaient de la rapidité avec laquelle le mercure était retiré suite à l’exposition, mais des dommages permanents peuvent se produire si le métal n’est pas chélaté assez tôt. Pourtant, même en cas de graves dommages, du fait de la formidable capacité réparatrice du cerveau du nourrisson, des améliorations sont possibles. Le problème de l’autisme implique de nombreuses fonctions de l’organisme, notamment le système gastro-intestinal, immunitaire et nerveux ; en conséquence, nous voyons de nombreuses infections et l’amplification des effets de la malnutrition. Dans l’ombre, en dehors de l’establishment médian, en utilisant une approche scientifique multidisciplinaire totalement ignorée par l’orthodoxie, des spécialistes intrépides ont fait beaucoup de miracles avec ces enfants. Certains enfants ont même connu un retour complet à la normalité physiologique.

C’est pourquoi, si votre enfant est autiste, ne perdez pas l’espoir.

Il existe des choses qui peuvent être faites.

Malheureusement, partout dans le pays, les autorités répondent au mouvement anti-vaccin en devenant plus sévère que jamais avec les parents.

Par exemple, partout en Zunie, tout enfant n’ayant pas écopé de tous les « vaccins nécessaires » est interdit d’école.

Dans certains cas, des enfants sont réellement enlevés à leurs parents qui ne leur donnent pas les « bons » vaccins. Lors d’une affaire récente en Pennsylvanie, un travailleur social a pris la garde d’un bébé juste après sa naissance, simplement parce que sa mère ne consentait pas à ce que l’enfant soit vacciné.

C’est le comble de la démence pur jus.

Les parents ne devraient pas avoir le droit de décider s’il sera ou non injecté plein de mercure et d’autres substances toxiques à leurs jeunes enfants ?

Les parents ne devraient pas avoir le droit de se demander si c’est une bonne idée d’inoculer aux enfants des dizaines de vaccins avant l’âge de 3 ans ?

Mais ce n’est pas comme ça que marche notre système. Les grandes compagnies pharmaceutiques financent les campagnes électorales de nos politiciens, et elles achètent nos politiciens pour qu’ils nous intimident afin que nous nous fassions vacciner.

Pour en savoir beaucoup plus sur tout ça, vous pouvez consulter un article de Barbara Loe Fisher, intitulé « Autism & vaccines ».

Tellement de choses pourraient être écrites sur ce sujet, mais j’espère que cet article vous aidera à démarrer.

L’essentiel est de faire vos propres recherches. N’écoutez pas aveuglément les [réclames publicitaires des] compagnies pharmaceutiques ou de qui que ce soit d’autre.

Avant de vous décidez un jour à vacciner un enfant, renseignez-vous autant que possible sur les vaccins.

Encore une fois cette année, des milliers et des milliers d’enfants deviendront définitivement invalides pour des prunes.

Quelle catastrophe devra devenir l’autisme en Zunie avant que nous admettions enfin la vérité ?

The American Dream, Michael Snyder, 29 mars 2012



Traduction copyleft de Pétrus Lombard

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