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mercredi 2 mai 2012

Pourquoi une fin du monde le 21 décembre 2012 ?


Nous nous sommes posé la question de savoir pourquoi était véhiculée l’idée de fin du monde pour le 21 décembre 2012. Tout d’abord nous avons cru qu’il s’agissait d’une date issue du calendrier Maya. Manque de chance, la fin du calendrier Maya se situe le 28 octobre 2011. En somme, nous vivons déjà la nouvelle ère. Le 21 décembre 2012 correspond au solstice d’hiver, soit la nuit la plus longue de l’année. C’est une symbolique d’initié qui n’a rien à voir avec les Maya. Alors pourquoi cette date ? 

Au lieu de rechercher des raisons ésotériques, il faut en revenir à plus de pragmatisme. Nous avions évoqué dans Morphéus l’usurpation en 1913 de la souveraineté monétaire US par le cartel bancaire. Fut établi alors un bail de 99 ans, qui remettait le destin de la Réserve Fédérale américaine entre les mains de ces faux-monnayeurs. Or, l’échéance de ce bail se termine le 22 décembre 2012. En clair, le 21 décembre 2012 quand minuit aura sonné, ce sera la fin du monde pour le cartel bancaire privé. Soit il aura mis en place un système mondialisé de contrôle total de la monnaie au-dessus de toutes les banques centrales (type BRI), soit il perdra le contrôle total, libérant enfin la souveraineté monétaire des peuples. 

On peut comprendre que des banques à coût de milliards de dollars, lancent des films et séries hollywoodiennes de fin du monde. Sans doute pour rappeler à leurs agents du Nouvel Ordre Mondial que tout peut être perdu le 21 décembre 2012, s’ils ne font pas leur besogne.




Frédéric Morin

mercredi 25 avril 2012

Des rapports de la Fondation Rockefeller comportent des informations, et illustrations, qui méritent notre attention..


Le document "Scénarios pour le futur de la technologie et du développement international", a été produit en mai 2010 par la Fondation Rockefeller et le Global Business Network. Ce rapport semble poser divers scénarios apocalyptiques, hypothétiques dit-on, pour ainsi amener à la conscience la nécessité de réfléchir et d'envisager le futur autrement. 

Je n'ai pas fait une étude exhaustive de ce rapport puisqu'il nécessite une lecture attentive. Toutefois, en lecture rapide, j'ai noté quelques éléments intéressants. À la page 34, on y trouve l'énonciation de catastrophes qui se sont déjà produites, dont le 11 septembre 2001, le tsunami de 2004, et le séisme en Haïti en 2010. Le texte semble poser une nuance entre ces désastres et d'autres pouvant se produire à une échelle bien pire. On pose alors l'hypothèse que les années 2010 à 2020 pourraient représenter une décennie de catastrophes apocalyptiques et on cite alors des évènements potentiels: une attaque sur les Jeux Olympiques de 2012 qui tue 13 000 personnes, suivie de près par un tremblement de terre en Indonésie faisant 40 000 morts, un tsunami qui détruit presque complètement le Nicaragua et le début d'une famine en Chine causée par une sécheresse liée aux changements climatiques.

À la page 18 du même rapport, on trouve une autre projection tout aussi troublante. Il est écrit, comme étant un scénario hypothétique encore une fois, que l'année 2012 est celle où frappe la pandémie mondiale tant anticipée en 2009, infectant 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en 7 mois, généralement de jeunes adultes en bonne santé. Cette pandémie mondiale aurait bien sûr des effets "mortels" sur les économies. Voici le document en question (anglais): ICI

Voici un autre document de la Fondation Rockefeller, déposé en 2009, intitulé "Foresight for Smart Globalization: Accelerating & Enhancing Pro-Poor Development Opportunities". Je n'ai pas encore parcouru le contenu de ce rapport, mais je me suis intéressée aux images. J'ai retenu l'une d'entre elles qui, selon moi, n'exige que très peu d'explications... 

À la page 14, du deuxième document, ci-bas, vous trouverez une illustration où on voit des personnages assis à chacune des pointes d'une étoile à 11 branches. Cette étoile à 11 branches est d'ailleurs la forme du terrain sur lequel est assis la Statue de la Liberté... Dans la symbolique occulte, dans la Kabbale juive, l'étoile a 11 branches est la représentation des sephirots maléfiques, nommé "l'arbre de mort" en opposition à "l'arbre de vie". Cette étoile représente aussi les 11 rois qui ont régné sur le pays d'Edom... 

Voici ce deuxième rapport

Quelles conclusions peut-on faire ici? Que la Fondation Rockefeller tente de nous "vendre" la gouvernance mondiale et la technologie comme seules et uniques solutions aux problèmes de l'humanité et que les scénarios hypothétiques choisis sont tout à fait plausibles et potentiellement imminents! 

dimanche 4 décembre 2011

Nouvel Ordre Mondial: Les Etats-Unis un grand pas de plus vers l’enfer dictatorial

Le sénat U.S. passe une loi de détention indéfinie sans droits légaux pour les suspects. 

Il est avéré que cette loi dictatoriale et liberticide a passé le sénat américain et doit maintenant être soumise à la chambre basse (le parlement). Obama a dit à son sujet qu’il poserait son veto si elle passait, mais rien n’est moins sûr. 

Une traduction d’un article de Paul Joseph Watson du 2 Décembre est en cours à ce sujet. Ne nous y trompons pas, les Etats-Unis ou pays du goulag levant, donnent le ton dans la direction totalitaire que doivent prendre nos sociétés. Ce ne sera qu’une question de mois pour qu’une standardisation de ces mesures se produise dans les pays satellites de l’empire, dont la France fait bel et bien partie, plus que jamais même, sous la poussée totalitaire du sarkozysme tout azimut. 

La grille de contrôle et de surveillance du Nouvel Ordre Mondial est en train de se mettre en place, mais pour beaucoup de citoyens, cela semble trop pour y croire… et pourtant, c’est suite à un “acte de terrorisme” (attentat fausse bannière de l’incendie du Reichstag) qu’Hitler suspendît les droits constitutionnelles et annonça au peuple allemand la création de la Geheim Staat Polizei, police secrète d’état, plus connue sous son diminutif de Gestapo. Soixante-dix-huit ans plus tard, retour à a case départ ! 

– Résistance 71 – 
resistance71.wordpress.com

jeudi 17 novembre 2011

Trahison catholique : le Pape pour un Nouvel Ordre Mondial


Le Vatican a fait connaître récemment sa position vis à vis de la crise économique qui affecte aujourd’hui la planète à travers un document intitulé « Pour une réforme du système financier international dans la perspective d’une autorité publique à compétence universelle ».

Malheureusement, mais comme on pouvait s’y attendre, le Vatican n’incrimine point  les « nouveaux » gardiens du Temple (de Wall Street) mais conseille plutôt aux croyants du monde entier de leur céder leurs « affaires d’argent » dans leur intégralité.

Ainsi les hautes autorités de l’Eglise préconisent pour sortir de cet état de crise de nous décharger de nos responsabilités et de les confier à ceux même qui ont provoqué cette crise :

« On voit, sur le fond, se dessiner en perspective l’exigence d’un organisme assurant les fonctions d’une sorte de ‘Banque centrale mondiale’ réglementant le flux et le système des échanges monétaires, à la manière des banques centrales nationales »

« Cette transformation s’effectuera au prix d’un transfert, graduel et équilibré, d’une partie des attributions nationales à une Autorité mondiale et aux Autorités régionales, ce qui s’avère nécessaire à un moment où le dynamisme de la société humaine et de l’économie, ainsi que le progrès de la technologie, transcendent les frontières qui se trouvent en fait déjà érodées dans l’univers mondialisé. »

Les peuples devraient donc, selon ces gens, se départir de leurs libertés pour devenir esclaves, une fois pour toutes, des banques « cosmopolites »…

Nous vous livrons ici une partie des déclarations abominables de l’Eglise rapportées par la presse et vous laissons juge.

Pierre Hillard (catholique Traditionaliste et spécialiste du NWO) répond aux questions du  Magazine chrétien Ripoublik.com et n’hésite pas à parler des penchants mondialistes du Pape Benoit XVI.

Chrétien ne vois tu pas que l’Eglise a trahi le Christ ?

Ne vois tu pas qu’elle abonde dans le sens des lucifériens ?

Qui est sans cesse attaqué par les mondialistes ?

Quelle est la dernière religion à condamner sans ambages le système matérialiste capitaliste dans sa globalité.

Qui a reconnu dans leurs saintetés, Jésus et Marie, à eux Paix et Bénédictions ?

Une foi ne vaut elle pas que dans sa pratique ?

Et certes si tu réfléchis et acceptes la vérité, nous chasserons les pharisiens du Temple…



Pierre Hillard sur le Dernier Rempart au Nouvel Ordre Mondial :
La dépêche :
CITE DU VATICAN, 24 octobre (Reuters) – Le Vatican a appelé lundi à la création d’une « Autorité publique universelle » et d’une « banque centrale mondiale » pour réguler les institutions financières dans la période actuelle de tourmente et d’incertitudes.
Le document de 18 pages, intitulé « Pour une réforme du système financier international dans la perspective d’une autorité publique à compétence universelle », devrait trouver un certain écho chez les « indignés » du monde entier qui protestent contre les dérives du système économique actuel.
« La crise économique et financière que traversent les pays interpelle tout le monde – les personnes comme les peuples – à effectuer un discernement approfondi des principes et des valeurs culturelles et morales qui sont à la base de la vie sociale en commun », indique le Conseil pontifical pour la Justice et la Paix dans une note.
Le Vatican met en garde contre « l’idôlatrie du marché » et « l’idéologie néo-libérale » selon laquelle les problèmes actuels seraient exclusivement d’ordre technique.
« La crise a révélé des attitudes d’égoïsme, de cupidité collective et d’accaparement des biens sur une vaste échelle », poursuit-il, ajoutant que les économies mondiales devaient assumer une éthique de la solidarité entre pays pauvres et riches.
« Si aucun remède n’est apporté aux différentes formes d’injustice, les effets négatifs qui s’en suivront au plan social, politique et économique seront de nature à engendrer un climat d’hostilité croissante et même de violence, jusqu’à miner les bases mêmes des institutions démocratiques, celles qui sont également considérées comme les plus solides et les plus sûres », peut-on lire dans le document.
Le Saint-Siège appelle à la mise en place d’une autorité supranationale à dimension planétaire et à une juridiction universelle chargée de guider les politiques et décisions économiques.
Une telle autorité devrait prendre comme référence l’Organisation des Nations unies pour gagner ensuite en indépendance.
STRUCTURES EFFICACES
A la question de savoir si ce document pourrait devenir le manifeste des « indignés », le cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical Justice et Paix, a déclaré : »Les gens à Wall Street doivent s’asseoir et réfléchir avec discernement pour savoir si leur gestion actuelle des finances mondiales sert les intérêts de l’humanité et l’intérêt général ».
« Nous appelons l’ensemble des groupes et organisations à s’asseoir et à repenser la situation », a-t-il dit lors d’une conférence de presse lundi.
Le Fonds Monétaire International (FMI) a perdu sa capacité à réguler la création globale de monnaie et de veiller sur le montant du risque de crédit que le système assume, estime le Conseil Pontifical.
« En matière économique et financière, les difficultés plus importantes proviennent de l’absence d’un ensemble efficace de structures capable de garantir, en plus d’un système de gouvernance, un système de gouvernment de l’économie et de la finance internationale. »
Le monde a besoin « d’un corpus minimum, partagé, de règles nécessaires à la gestion du marché financier mondial. »
« On voit, sur le fond, se dessiner en perspective l’exigence d’un organisme assurant les fonctions d’une sorte de ‘Banque centrale mondiale’ réglementant le flux et le système des échanges monétaires, à la manière des banques centrales nationales », note le document.
Le Conseil pontifical reconnaît que la mise en place de ces deux instances prendra des années et se heurtera à une résistance de la part des acteurs mondiaux.
« Cette transformation s’effectuera au prix d’un transfert, graduel et équilibré, d’une partie des attributions nationales à une Autorité mondiale et aux Autorités régionales, ce qui s’avère nécessaire à un moment où le dynamisme de la société humaine et de l’économie, ainsi que le progrès de la technologie, transcendent les frontières qui se trouvent en fait déjà érodées dans l’univers mondialisé. » (Marine Pennetier pour le service français)

mercredi 21 septembre 2011

Le nouvel ordre mondial a dix ans



Une décennie après les attentats qui ont détruit les tours du World Trade Center, tous les médias français se sont mis à l’heure américaine. Un élément était systématiquement absent des commentaires : à la suite du 11 septembre 2001, les États-Unis se sont engagés dans une nouvelle politique impérialiste, qui a fait bien plus de victimes à travers le monde, et la peur du terrorisme domine encore les débats publics.

Dix ans. Le 11 septembre 2001, quatre avions étaient détournés dans le ciel des États-Unis. Deux d’entre eux allaient dévaster les tours du World Trade Center. Au total, 3000 personnes ont péri ce jour là, au cœur de la capitale économique de la principale puissance mondiale. Conformément au mode de fonctionnement des médias français, aucun n’a manqué de commémorer cet épisode dramatique avec force éditions spéciales et émotions. La rédaction de la radio publique France Inter s’étant même déplacée à New York pour l’occasion. L’idée dominante avait déjà été émise il y a dix ans, par Jean-Marie Colombani, alors à la tête du quotidien Le Monde : « Tous Américains ! »

L’émotion a pris toute la place dans les commentaires. La seule analyse a portée sur le développement de l’Etat sécuritaire à travers l’Occident, dans un climat de violente islamophobie. Mais, les médias ont soigneusement évité de donner la parole aux organisations de défense des droits de l’Homme. Leurs messages sont pourtant éclairants. Ainsi, l’Union américaine pour les libertés civiles (ACCLU), l’équivalent de notre Ligue des droits de l’Homme, se montre sévère : « Nous ne pouvions pas imaginer que dans la décennie qui allait suivre [les attentats du 11 septembre], notre pays s’engagerait dans des politiques qui défient directement les valeurs américaines et mineraient notre Constitution. » L’ACCLU met particulièrement en cause l’acceptation de la torture, des assassinats ciblés, du camp de détention de Guantánamo, d’un gouvernement se permettant de multiplier les activités d’espionnage de ses propres citoyens, ou encore une législation d’exception donnant la possibilité de détenir pour une période indéterminée des non ressortissants, sans aucune charge précise, sur la simple suspicion de leur participation à des activités terroristes ou de liens même supposés avec des organisations terroristes.

EN GUERRE CONTRE LES LIBERTES

Human Right Watch est une autre organisation américaine qui fait référence en matière de défense des droits humains. Elle déplore la volonté de Barack Obama de « regarder en avant et non pas en arrière », mettant ainsi fin à la torture tout en refusant de poursuivre devant les tribunaux les responsable de cette politique. « Cette incapacité à faire respecter l’État de droit risque de transformer les délits flagrants que sont la torture et d’autres graves violations de droits humains en options politiques permises », prévient Human Right Watch. Plusieurs rapports d’Amnesty International, d’Human Right Watch et du Conseil de l’Europe ont mis à jour un système international d’enlèvements. Des individus suspects aux yeux des autorités américaines étaient transférés à travers des pays d’Europe, via les bases militaires américaines, puis mis au secret et torturés dans des pays comme la Libye ou l’Égypte. Ces rapports n’ont intéressé aucun grands médias français. La FIDH souligne que la guerre contre le terrorisme a permis à de nombreux États autoritaires d’adopter des législations encore plus dures pour réprimer leurs opposants et criminaliser toute forme de protestation sociale, comme en Égypte par exemple. Avec l’actuel occupant de la Maison Blanche, toutes formes de pressions pour une libéralisation - même cosmétique - du régime de Moubarak se sont évanouies. Avant son discours sur le renouveau des liens entre les américains et le monde arabe, à l’université du Caire en 2009, Barack Obama avait déclaré à la presse qu’il voyait en Hosni Moubarak « une force pour la stabilité et le bien » au Moyen-Orient, « un allié fidèle des États-Unis ». [1]

AFGHANISTAN, IRAK, PALESTINE

Le renouveau de la politique impériale des États-Unis n’a pratiquement pas été abordé en France. A la suite des attentats perpétrés sur son sol, la première puissance mondiale a augmenté de façon drastique ses dépenses militaires : chaque année, les États-Unis gaspillent 500 milliards de dollars en armement, autant que le reste du monde. Un chiffre à comparer aux dépenses nécessaires pour atteindre les Objectifs du millénaire fixés par les Nations Unies. Selon l’OCDE, il suffirait de 50 à 100 milliards de dollars par an pour réduire la pauvreté dans le monde, ainsi que la faim et la mortalité infantile, tout en assurant une éducation primaire pour tous et l’amélioration de la santé maternelle. Ces sommes permettraient aussi de lutter contre le SIDA, de préserver l’environnement et d’améliorer l’égalité entre hommes et femmes. Les Objectifs du millénaire ne seront pas atteint en 2015, contrairement aux ambitions initiales, par manque d’argent... Les grands absents des commémorations du 11 septembre sont sans aucun doute les victimes des guerres menées par les États-Unis et ses alliés. Aucune rédaction n’est allée à Gaza, dont la tuerie de 2008/2009 n’a pu avoir lieu qu’en raison du soutien inconditionnel donné par Washington - tant par les Républicains que par les Démocrates - à la politique israélienne depuis 2001. Les médias français n’ont rien dit non plus sur le très probable million et demi de morts en Irak, principalement des civils [2] , ni sur les millions d’Irakien forcés à fuir leur pays, ni sur le pillage d’un patrimoine culturel sans comparaison. Aucun journaliste français ne s’est recueilli sur les 500.000 enfants morts sous l’embargo anglo-américains durant les années 1990 [3]. En Afghanistan, après dix années d’occupation qui ont vu les occidentaux se retourner contre les talibans, 15.000 civils ont trouvé la mort. Toutes les victimes en Irak et en Afghanistan ne sont pas le fait direct de l’armée américaine, mais elles n’auraient certainement pas eu lieu si la Maison blanche n’avait décidé d’envahir ces deux pays. Aux yeux de l’universitaire Noam Chomsky, « Bush et ses associés ont commis le crime suprême aux yeux du droit international, le crime d’agression. Ce crime a été défini clairement par le procureur américain lors du Tribunal de Nuremberg (...) » : un État agresseur est celui qui commet « une invasion par ses forces armées, avec ou sans déclaration de guerre (...). Le crime d’agression comporte en lui tous les autres crimes de guerre. »

Olivier Vilain

[1] Hopes and prospects, Noam Chomsky, Penguin, Londres, 2010
[2] L’enquête la plus complète est celle menée par le Lancet, la très renommée revue britannique de médecine. Elle estimait à 600.000 le nombre de victimes irakiennes. C’était en 2006, soit avant les grandes offensives de l’année 2008. Pour en savoir plus sur ces chiffres dix fois supérieurs à ceux utilisés par les médias français, voir Just Foreign Policy
[3] L’Irak apparaît comme un pays martyr. Sans compter les victimes (Kurdes, Chiites, etc) de la terreur perpétrée par Saddam Hussein avec la complicité des occidentaux, il faut ajouter aux chiffres mentionnés plus haut les 100.000 soldats tués lors de l’offensive occidentale de 1991 et les 500.000 morts de la guerre contre l’Iran, menée avec le soutien de la France, du Royaume-Uni et de Washington. Aucune rédaction française n’est allée à Bagdad - ou à Koweit City pour plus de sécurité - pour commémorer ces victimes dont le nombre est sans commune mesure avec celles du World Trade Center.