C’est pendant des années que j’ai pu observer l’administration de ces vaccins expérimentaux à des patients souffrant de maladies rénales, alors qu’on leur avait dit que ce vaccin (antigrippal donc) était efficace et sans danger. Je possède de nombreux témoignages qui disent tout autre chose. J’ai effectué une recherche sur Pubmed et ai pu me rendre compte que d’autres rapports ont été publiés sur l’apparition de glomérulonéphrites après des vaccins chez des personnes dont les reins étaient préalablement en parfait état. Toutes ces observations montrent que les maladies chroniques des reins ne font que s’aggraver. Tous les patients que j’ai dialysés après qu’ils aient reçu les vaccins contre la grippe sont des preuves vivantes que les dommages collatéraux de la vaccination existent et que leur gravité est imprévisible.
Certains médecins ont cependant voulu classer ces observations sous prétexte que ces cas seraient anecdotiques. Les rapports de cas se sont cependant à ce point accumulés qu’ils ont pu montrer qu’en prenant en considération la relation bénéfices/risques, il valait beaucoup mieux faire tout simplement et naturellement la grippe.
J’ai vu des diabétiques de type I et des patients transplantés relativement bien se porter après avoir été infectés par le virus de la grippe et le H1N1, alors que ces patients seraient censés souffrir terriblement après avoir été contaminés.
Quand je me suis rendue dans les chambres stériles du département des soins intensifs où je m’attendais à trouver des personnes terriblement malades de la grippe, je n’ai pu voir que des personnes assises qui mangeaient et jouaient aux échecs avec des membres de leurs familles (qui portaient des masques).
Pour moi, ce vaccin n’en vaut pas le risque. Mais si les médecins avaient quelques notions de diététique et s’ils savaient qu’il est possible de soigner une personne infectée avec de la vitamine C, il n’est pas difficile d’imaginer l’impact que cette manière d’envisager les soins aurait sur les autres personnes, comme sur la morbidité. Ma pratique m’a montré l’impact positif que peut avoir cette manière d’envisager le traitement de la grippe chez mes patients atteints de maladies rénales et qui avaient, depuis toujours, refusé les vaccinations.
Dr Suzanne HUMPHRIES, MD, néphrologue.
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