dimanche 18 décembre 2011

Lisez cela avant de devenir un code barre !


Aujourd’hui, on voit bien qu’il devient de plus en plus difficile de passer à coté des conséquences des crises.

Tout d’abord celle qui concerne l’économie et la finance publique, ici pas besoin d’étayer beaucoup, les médias classiques s’en chargent bien, pouvoir d’achat en baisse, consommation en baisse, production en baisse, croissance en baisse ... Je me contenterai alors simplement d’une petite précision : cette crise semble orchestrée par les banques privées, ayant « volé » le pouvoir de la création monétaire aux états, de manière à leur faire contracter un crédit pour rembourser cette dette, seulement comme avec tout crédit, les banques empochent l’intérêt, et ce depuis visiblement 1973 ! J’ouvre ainsi une piste de réflexion que je vous laisse le soin d’approfondir par vos propres moyens.

Nous avons ensuite devant nous, les conséquences de la crise sociale. Celle qui fait que beaucoup travaillent plus longtemps ou perdent leur emploi, se voient mis en concurrence avec la rentabilité d’une machine ou avec une main d’œuvre moins chère d’un autre pays encore plus esclavagiste que chez nous. Celle qui fait perdre des acquis sociaux et fait descendre une marche : le travailleur devient chômeur, le chômeur devient SDF et le SDF ... Pour l’entreprise, quoi de plus normal que de choisir la délocalisation pour espérer faire grossir son chiffre d’affaire puisque pour se pérenniser, l’homme économique a dit il doit y avoir croissance ! Il faut donc sans arrêt trouver de nouvelles perspectives de manière à tendre vers ce toujours plus, quitte à aller contre l’homme lui même. La crise sociale c’est également celle qui cherche à nous diviser, qui touche notre santé avec l’augmentation des cancers et des maladies génétiques, liés vraisemblablement au stress, à l’alimentation chimique et à la pollution. Or, on augmente fatalement les frais de sécurité sociale si on veut soigner les gens. J’ouvre ainsi une piste de réflexion que je vous laisse le soin d’approfondir par vos propres moyens.

Puis vient la crise écologique que nous ne pouvons et ne devons plus ignorer. Celle ci se rencontre maintenant partout : aux pôles avec la disparition des glaciers accélérée par le réchauffement, en mer avec la diminution du poisson, sur terre avec la disparition des espèces et des forets primaires, dans l’air avec la pollution… L’idée du toujours plus est une fois encore à mettre en cause, car nous avons fondé nos sociétés sur la consommation et la production de biens, or ces deux éléments reposent sur des matières premières que fournit la Terre : le bois, le pétrole, ... Mais comment croire à une consommation illimitée dans un monde de ressources naturelles limitées ? J’ouvre ainsi une piste de réflexion que je vous laisse le soin d’approfondir par vos propres moyens.

A nous TOUS de relayer les infos, de comprendre le monde et nos sociétés. Qui est conscient du problème fait déjà parti de sa solution. De plus, nous savons que ces crises sont intimement liées, c'est en fait le système, la manière dont nous avons bâti nos sociétés qui sont en berne.

D’autant que les politiques semblent désintéressés de ces problèmes, ou en tout cas peinent énormément à trouver des remèdes efficaces. Pourquoi ? Parce que la soif de pouvoir et de richesse est encore la, au dessus d’eux. Il ne s’agit pas d’un complot ou d’une machination, mais simplement que chacun est afféré à défendre son intérêt propre et son pécule avant l’intérêt général. A mon sens, nous n’avons qu’une vraie solution qui s’offre à nous. Est venu le temps de la vraie démocratie, le pouvoir du peuple. Marre d'être mal représenté, marre de voir que ces personnes désignées écrivent les lois et la constitution dans leur propre intérêt ? Alors redevenons citoyens. Ce n'est absolument pas révolutionnaire ou utopiste de dire cela, il s’agit simplement de voir notre avenir commun en face. Nous valons bien mieux que de simples machines de consommation, de simples outils de production de richesse à laquelle nous sommes trop peu à accéder. Nous valons bien mieux que d’être considérés comme simples électeurs. C’est à nous TOUS de reprendre notre liberté individuelle mais tous ensemble. La solution est en chacun de nous car notre quotidien nous appartient, et non pas à ceux qui le transforment en billets. C'est à nous TOUS de décider, cessons d’éparpiller nos énergies autour des différentes conséquences (pauvreté, environnement, OGM, nucléaire …), il y a un seul vrai problème : LA DÉLÉGATION DU POUVOIR à des représentants qui nous trompent. Pourquoi ne pas créer des assemblées participatives, ou chacun désireux de s’intéresser à la vie politique aurait son mot à dire ? Où chaque intervenant serait définit par tirage au sort par exemple ? Redevenons citoyens. J’ouvre ainsi une piste de réflexion que je vous laisse le soin d’approfondir par vos propres moyens.

Parlez en autour de vous, à vos proches, à vos amis, à vos collègues, répandez partout cette envie de changement et ce désir deviendra alors inarrêtable.
Est ce bien là l'évolution de l'homme ?

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