jeudi 17 novembre 2011

JESUS-CHRIST, UN MYTHE





LE CHRISTIANISME COLONIAL M’A TROMPE 


J’ai été catholique et ensuite Témoin de Jéhovah et comme beaucoup de colonisés qui ont subi l’aliénation et reçus l’éducation religieuse de la domination euro-judéo chrétienne, j’ai longtemps, moi aussi accepté Jésus-Christ comme le fils de dieu, le messie annoncé et bien sûr, comme un personnage historique qui aurait vécu dans l’ancien Israël il y a deux mille ans et qui serait né de manière miraculeuse d’une vierge du nom de Marie.


Je croyais sincèrement aux valeurs qui avaient été imposées à mes ancêtres, car moi aussi tout comme des centaines de millions de colonisés, j’avais subi le conditionnement et la programmation de la civilisation occidentale criminelle, et je défendais avec véhémence ce que je croyais être des vérités absolues et irréfutables du christianisme.


La Bible judéo-chrétienne a été, pour moi, une référence absolue, jusqu’au jour où mes yeux furent ouverts, grâce aux recherches personnelles que j’ai accepté de mener à partir des pistes que les historiens Kamites éclairés, m’avaient fournies.


Mes parents, étant nés chrétiens victimes du catholicisme, religion coloniale organisatrice de la traite négrière transatlantique et qui s’est imposée aux Antilles depuis 1635, époque de l’arrivée des premiers colons français en Martinique, je suis donc moi aussi né dans cette religion coloniale.


J'ETAIS UN TEMOIN DE JEHOVAH 


A l’âge de dix-sept ans, je rejetais officièlement le catholicisme que je trouvais trop éloigné de la Bible pour me convertir et me faire baptiser, après trois ans d’étude biblique, à la religion judéo chrétienne des Témoins de Jéhovah.
Persuadé à l’époque, que les témoins s’attachaient scrupuleusement à la Bible, je gravis rapidement les échelons de cette secte, pour devenir un ancien, comprendre un pasteur et un missionnaire, ce qui correspond au plus hauts privilèges, dans cette église.


C’est dans l’exercice de l’action missionnaire de cette organisation que je fus envoyé par la direction des témoins de Jéhovah, la société américaine Watchtower, en Afrique, au Sénégal en 1972 alors que j’étais âgé de vingt ans. C'est ainsi que j'ai découvert mon continent ancêtral.


Malgré bien des péripéties, je ne parvins à quitter cette religion de manière définitive qu’entre 1996-1997, quand j’ai découvert, ce que j’appelle aujourd’hui des falsifications volontaires des hauts dirigeants des témoins de Jéhovah. Je ne m’attarderai pas ici sur ma déception de cette secte, que je considère, être un détail dans mon témoignage en rapport avec les raisons pour lesquelles, je rejette aujourd'hui, le christianisme sous toutes ses formes.






JE NE CROIS PLUS DANS LA BIBLE


Bénéficiant d’une sérieuse connaissance de la Bible que j’ai acquise pour l’avoir appliquée, lue à plusieurs reprises et étudiée de manière méthodique, verset par verset de la Genèse à l’Apocalypse, durant plus de quarante années, je suis arrivé en dépit de tout mon respect envers ceux qui y croient sincèrement, à la conclusion solennelle, que ce livre est un faux et qu’il est préjudiciable à tous les Kamites.


Je crois sincèrementque si Jésus-Christ, la Bible et le Christianisme n’avaient pas été les instruments les plus efficaces pour dominer les esclaves nègres et les communautés autochtones colonisées, les occidentaux n’auraient jamais imposé, avec autant de zèle, d’efforts financiers et militaires, la foi chrétienne à ceux qu'ils oppriment.


Ayant soigneusement analysé les arguments des chercheurs et des historiens qui ont vérifié et publié des informations sur les preuves que Jésus Christ est un mythe et une fable inventés de toutes pièces plus d’un siècle après l’époque où l’on prétend qu’il a vécu, j’ai décidé de rejeter toutes les croyances et philosophies fondées sur ce faux messie défendu dans les evangiles et autres textes falstifiés de la Bible, qui le défendent.


Un témoignage de Seku Mâga 

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