mardi 28 janvier 2014

Les prophéties sont en marche : Des “États-Unis d’Europe” pour bientôt !


Alors que la crise financière se propage au sein de l’Union européenne, de plus en plus de voix s’élèvent pour demander la création d’un véritable gouvernement fédéral en Europe – des États-Unis d’Europe ! Pour de nombreuses personnes dans les médias et les cercles gouvernementaux, il s’agit d’un changement tout nouveau dans la quête permanente d’une Europe politiquement unifiée. Cependant, les prophéties bibliques ont annoncé depuis longtemps qu’un tel événement se produirait à un moment critique de l’histoire humaine – une époque appelée la « fin du monde », qui précédera immédiatement le retour de Jésus-Christ sur cette terre. Il nous faut surveiller ces événements remarquables en Europe, car les anciennes prophéties bibliques prennent vie de nos jours, dans les titres de l’actualité ! Des voix s’élèvent !

Depuis Berlin, l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder a appelé à la création des « États-Unis d’Europe pour […] éviter des crises économiques à venir », en déclarant que « nous devrons abandonner notre souveraineté nationale » au profit d’un gouvernement commun (“Former German leader calls for ‘United States of Europe’”, Reuters.com, 4 septembre 2011). Cette conviction est de plus en plus partagée à travers le monde !

Lors d’une conférence à Paris, les responsables de la Banque centrale européenne ont déclaré que la gestion de la crise financière en Europe impliquait obligatoirement la « finalisation » du projet européen et la mise en place d’un « gouvernement fédéral avec un ministre des Finances fédéral » (“Spectre of fresh EU treaty returns to haunt ‘incomplete’ Europe”, euobserver.com, 6 septembre 2011). Le Conseil pour le futur de l’Europe a publié une déclaration politique appelant à une union fiscale et politique des États européens qui inclurait des « stratégies communes en matière de sécurité, d’énergie, de climat, d’immigration et de politique étrangère » – sous l’administration d’une entité centrale européenne – et que les avancées dans cette direction étaient « inévitables » (ibid.).

Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a récemment observé que la gestion de la crise de la dette européenne exigeait une action plus rapide et plus décisive, et que « les marchés demandaient plus d’intégration, au moins dans la zone euro » (“Markets will drive a two-speed Europe, says Barroso”, euobserver.com, 7 septembre 2011). À New-York, un responsable de Citigroup, la plus grande entreprise de services financiers au monde, a déclaré que « la zone euro risquait de s’effondrer, à moins que les États-membres de l’Union européenne fusionnent tant sur le plan fiscal que politique […] L’Europe doit faire preuve de fermeté et décider si elle veut former des “États-Unis d’Europe” ou un “patchwork” d’États indépendants » (“Citigroup says only ‘United States of Europe’ will save euro”, euobserver.com, 21 avril 2011).

Les États-Unis d’Europe

Ces voix qui s’élèvent commencent à faire écho de manière insistante aux idées qui circulent en Europe depuis quelques temps. Ces idées commencent aussi à se faire entendre sur l’échiquier politique allemand. « Les euro-fédéralistes allemands sortent de leur silence. Personne ne s’est étonné d’entendre Joschka Fischer, ancien homme d’État écologiste, appeler à des “États-Unis d’Europe”. Mais ce fut beaucoup plus surprenant lorsque Gerhard Schröder, ancien chancelier social-démocrate, prononça ces mêmes paroles, tout comme Ursula von der Leyen, ministre du Travail et membre dirigeant de l’Union chrétienne-démocrate » (“Germany’s euro question”, The Economist, 10 septembre 2011). Dans son livre, Les États-Unis d’Europe, l’ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt plaide pour la création d’un gouvernement fédéral afin d’établir des « États-Unis d’Europe ». Il envisage une Europe plus intégrée qui pourrait stimuler l’économie du continent et lutter plus efficacement contre le crime organisé. Les anciennes prophéties sont en marche !

De nos jours, les érudits et les sceptiques prétendent que la Bible n’est rien d’autre qu’un recueil de mythes et de légendes, mais le Dieu de la Bible déclare avec force que Lui seul est capable « [d’annoncer] dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d’avance ce qui n’est pas encore accompli ; je dis : Mes arrêts subsisteront » (Ésaïe 46 :8-10). Il y a environ 2500 ans, le Dieu de la Bible révéla au prophète Daniel qu’une confédération fragile (de fer et d’argile), liée à l’ancien Empire romain, s’élèverait en Europe juste avant le retour de Jésus-Christ sur cette terre (Daniel 2 :34-44). Au premier siècle apr. J.-C., l’apôtre Jean prophétisa que l’apparition soudaine d’une puissante « bête » politique, dotée d’une grande puissance militaire, surprendra le monde. Cette bête sera soutenue par une autre bête – un grand dirigeant religieux qui accomplira des signes et des prodiges, et qui séduira les peuples du monde en leur faisant suivre la bête politique pendant une période de 42 mois – 3 ans et demi (Apocalypse 13). Jean prédit aussi que dix rois remettront leur puissance et leur autorité (abandonneront leur souveraineté) à cette bête politique – et ce système satanique fera la guerre contre Jésus-Christ à Son retour (Apocalypse 17 :12-14). La bête politique européenne est aussi décrite comme une puissance économique fortement impliquée avec les marchands de la terre – qui se lamenteront lorsque Jésus-Christ mettra fin à ce système entier lors de Son retour (Apocalypse 18).

À la lumière de ces anciennes prophéties bibliques, décrivant l’apparition surprenante d’une puissance européenne dotée d’une grande capacité militaire et liée à l’économie mondiale, il est remarquable de constater que les événements mondiaux vont dans la même direction ! À cause de la crise de la dette européenne, des voix s’élèvent non seulement pour appeler à des États-Unis d’Europe, mais les principaux pays européens (France, Allemagne, Italie, Pologne et Espagne) veulent aussi « mettre en place un quartier général militaire de l’Union européenne » pour conduire des opérations militaires à travers le monde– malgré les objections de la Grande-Bretagne (“EU countries propose military headquarters”, United Press International, 9 septembre 2011). Cette initiative pourrait déboucher sur la création tant attendue d’une armée européenne. Alors que les prophéties bibliques parlent de dix rois qui constitueront cette bête européenne, il est intéressant de noter que les traités européens offrent la possibilité à « neuf États-membres ou plus de mettre en œuvre un projet européen sans l’aval des autres ». Un « noyau dur » de membres au sein des nouveaux États-Unis d’Europe pourrait accomplir ces prophéties dans un avenir proche !

Pendant que les nations dominantes en Europe proposent d’avancer sur le projet fédéral européen, d’autres parlent de diminuer le statut de certains pays ou de réduire leur nombre dans l’Europe des 27. À travers l’UE, de plus en plus de politiciens, y compris des législateurs allemands influents, parlent désormais ouvertement du « tabou » de l’exclusion de la Grèce hors de la zone euro (“Deficit Sinners’ Flags Should Fly at Half-Mast”, Der Spiegel, 9 septembre 2011).

Quelques membres fondateurs de l’UE ont proposé que les États surendettés soient « mis sous tutelle » de la Commission européenne qui contrôlera leur situation financière.

« Le Premier ministre des Pays-Bas a annoncé mercredi que les pays recevant de l’aide devraient soit céder le contrôle sur leur budget, soit quitter la zone euro. “Les pays refusant d’être mis sous tutelle auront la possibilité de quitter la zone euro”, a déclaré le Premier ministre hollandais, Mark Rutte » (“European Leaders Escalate Tough Talk on Greece”, New York Times, 8 septembre 2011). Les idées en cours de discussion – réduire le nombre de nations dans la zone euro ou avancer avec un noyau dur de nations pour créer des États-Unis d’Europe – aideront assurément ces anciennes prophéties à prendre vie de nos jours – sous nos yeux !

Contrairement à ce que les sceptiques veulent bien croire, les prophéties bibliques ont été inspirées et préservées par un Dieu réel – le Dieu de l’univers – qui est sur le point d’accomplir tout ce qu’Il a annoncé des milliers d’années en arrière. C’est pourquoi Jésus-Christ nous avertit : « Mais restez éveillés dans une prière de tous les instants pour être jugés dignes d’échapper à tous ces événements à venir et de vous tenir debout devant le Fils de l’homme » à Son retour (Luc 21 :36, version TOB).

Douglas S. Winnail

Un Européen du mésolithique à la peau noire et aux yeux bleus


Des scientifiques ont réussi à séquencer, pour la première fois, le génome d'un chasseur-cueilleur ibérique ayant vécu il y a 7 000 ans.

C'est une première riche d'enseignements. Grâce à l'ADN extrêmement bien conservé d'un fossile découvert en 2006 dans le nord-ouest de l'Espagne, une équipe de chercheurs espagnols et danois, emmenée par Carles Lalueza-Fox de l'Institut de biologie évolutive de Barcelone, est parvenue à séquencer le génome complet d'un chasseur-cueilleur européen du mésolithique ayant vécu il y a près de 7 000 ans. À partir de l'une de ses dents, ces scientifiques ont recueilli de quoi dresser un premier portrait-robot de cet homme, baptisé La Braña 1, du nom de la grotte où il a été exhumé, près de Valdelugueros, dans la province de León. Parmi les informations décryptées, qui viennent tout juste d'être publiées dans la revue Nature, un élément s'est révélé particulièrement surprenant : La Braña 1 était, semble-t-il, un beau "Noir" aux yeux bleus.

Alors que les chercheurs pensaient jusqu'ici que nos ancêtres européens avaient acquis une peau claire dès le paléolithique supérieur, du fait d'un moindre rayonnement UV, il s'avère qu'il n'en est rien. L'étude génétique a révélé que La Braña 1 avait encore la peau et les cheveux sombres de ses ancêtres africains, même si la science est incapable de déterminer exactement leur niveau de pigmentation. L'évolution vers un teint plus pâle pourrait finalement être intervenue beaucoup plus tard, au néolithique, à la faveur d'une modification du régime alimentaire comportant un apport moindre en vitamine D. C'est du moins l'hypothèse que les scientifiques formulent à ce stade. En revanche, La Braña 1 était déjà porteur de la mutation génétique qui confère des yeux bleus aux humains modernes. Selon les chercheurs, cette rare combinaison génétique est, aujourd'hui, absente des populations européennes. D'ailleurs, en comparant le génome de La Braña 1 avec celui des Européens d'aujourd'hui, les scientifiques ont estimé que ceux-ci étaient génétiquement éloignés. Toutefois, ils ont relevé certaines similitudes avec les populations scandinaves du nord de l'Europe, tel que Suédois et Finlandais. Par ailleurs, des comparaisons avec d'autres fossiles, notamment ceux découverts récemment sur le site de Mal'ta, près du lac Baikal, en Sibérie, montrent qu'il y a une continuité génétique - et donc un ancêtre commun - entre les populations de l'Eurasie occidentale et centrale, depuis le paléolithique supérieur jusqu'au mésolithique.

Résistance aux infections

Mais l'autre grande surprise contenue dans le génome de l'individu La Braña 1 réside dans ses défenses immunitaires. En effet, ce chasseur-cueilleur ibérique possédait déjà plusieurs mutations génétiques associées à la résistance aux infections bactériennes chez les humains modernes. Des variations dont on pensait jusqu'ici qu'elles avaient émergé avec l'apparition de l'agriculture et de l'élevage, du fait des contacts rapprochés avec les animaux. Il faudra donc envisager d'autres hypothèses pour expliquer cette évolution. C'est finalement sur le plan digestif que La Braña 1 était le moins bien doté puisqu'il présentait une intolérance au lactose et une faible capacité à digérer l'amidon. Toutefois, avant de pouvoir généraliser cet ensemble de caractéristiques, il faudra séquencer les génomes d'autres chasseurs-cueilleurs européens du mésolithique. Une tâche à laquelle l'équipe de Carles Lalueza-Fox compte bien s'employer en tentant de faire parler l'autre fossile de Valdelugueros, La Braña 2.

CHLOÉ DURAND-PARENTI
28/01/13


lundi 27 janvier 2014

D’où vient le soudain réveil des pyramides ?


Les pyramides sont l’un des monuments les plus mystérieux de notre planète. Personne, au fond, ne contestera que le sens de ces lieux de culte va bien au-delà des sépultures habituelles.

Et voilà un nouveau coup de théâtre : des scientifiques ont enregistré de puissants rayonnements lumineux, émanant du sommet des pyramides en direction de l’espace. Il s’agit d’un phénomène universel. Pourquoi cette activation soudaine ? La réponse à cette question n’est pas évidente, car jusqu’à aujourd’hui, nous savons peu de chose de la nature véritable des pyramides. Des scientifiques s’accordent à dire que ces constructions sont les plus anciens émetteurs et transmetteurs d’information. Et dernièrement, ces hypothèses semblent s’être confirmées…

Qu’y a-t-il de commun entre le temple de Kukulcán, situé sur la péninsule du Yucatan au Mexique, les pyramides de la vallée Xianyang en Chine, et les pyramides de la civilisation de Norte Chico dans les Andes ? Ces anciens lieux de culte, construits à peu près à la même époque que les pyramides égyptiennes de Gizeh, développent depuis peu une activité sans précédent.

Nombreux sont ceux qui, dans le ciel, ont vu d’intenses colonnes de lumière émaner des pyramides. Des photos et des vidéos confirment aussi ce phénomène extraordinaire (il faut noter que les documents qui ont été présentés aux spécialistes n’ont pas été truqués et il n’y aucun doute sur le fait qu’il n’y a pas eu de falsification).

L’astrophysicien Anton Ermolenko est convaincu que ces événements doivent faire l’objet d’une étude scrupuleuse : « La communauté scientifique mondiale devrait certainement faire plus attention à ce qui se passe actuellement avec les pyramides. Le fait qu’elles se réveillent après un sommeil millénaire est en lui-même un phénomène unique. Je crois que nous ne devrions pas ignorer ces faits évidents et essayer de comprendre pourquoi ils ont lieu aujourd’hui. Après tout, il ne s’agit pas d’un cas unique, mais d’un phénomène massif observé de l’Asie à l’Amérique du Sud. »

L’élément principal qui intéresse les scientifiques et les néophytes est de connaître la cause et la direction de ces rayons lumineux. Il est évident qu’il est difficile de qualifier ce phénomène de coïncidence banale, mais son étude demande du temps et de l’argent. Et qui sait, peut-être ferons nous quelques pas de plus vers la résolution du mystère des pyramides.

26/01/13