mardi 30 avril 2013

L’hiver a été glacial, et ce n’est qu’un début



Des hivers encore plus rudes en 2014 et 2015. Un scientifique de l’UCL explique et balaie d’un revers de main la théorie du réchauffement climatique.

Marko Istvan, vous êtes professeur de chimie à l’UCL. Nous sortons d’un hiver très froid. Le mois de mars a été le plus froid de tous, depuis le début des années septante. Mais vous dites que ça n’a rien à voir avec le réchauffement climatique.

Non, rien. C’est ce que d’éminents spécialistes en climatologie veulent nous faire croire. Mais je suis né en 1956. À l’époque, nous connaissions des hivers bien froids. Depuis quelques années, nos hivers redeviennent tout simplement normaux, comme ceux dont j’avais l’habitude enfant. Aujourd’hui, on essaie de nous faire croire que l’homme est responsable d’un dérèglement du climat, qu’il détruit la planète, que demain il fera 150 degrés. Les preuves scientifiques ne vont pas dans ce sens.

Mais la banquise fond dangereusement, non ?

Cet été, on nous a dit que la banquise arctique fondait de manière complètement anormale. C’est vrai. Une zone de haute pression extrêmement chaude s’est installée en même temps qu’une arrivée d’eau chaude. Mais dans les années 1900, la fonte de l’Arctique était pire que maintenant. En réalité, la fonte actuelle de la calotte polaire est normale et cyclique. À l’heure actuelle, la banquise arctique possède autant de glace que durant la moyenne cumulée des années 2000. En d’autres mots, toute la glace qui a fondu s’est reconstituée, et avec un petit bonus supplémentaire. Et l’hiver n’est pas encore terminé. Une fois de plus, les modèles climatiques se sont trompés.

Une fois de plus ? Vous voulez dire que le réchauffement climatique serait une blague et que la pollution ne serait pas un drame ?

Je ne dis pas ça non plus. Ce n’est pas un appel à polluer tant et plus. Mais la pollution par l’homme a une très faible influence sur les phénomènes climatiques, peut-être 5 %. Par ailleurs, c’est l’augmentation de la température qui conduit à une hausse du taux de CO2. Et pas l’inverse.

Et le climat se réchauffe…

Non. La température du globe n’a pas augmenté depuis plus de quinze ans. Elle serait même en légère diminution. L’Arctique a repris les glaces qu’elle avait perdues et l’Antarctique en possède davantage que depuis 1979, date des premières mesures effectuées par satellite. Trois observations indéniables qui contrastent avec l’explication que l’on fournit sur nos antennes médiatiques. Ajoutons que des travaux récents montrent que les fluctuations du jet-stream polaire et l’activité du soleil, particulièrement faible pour le moment, sont couplés.

Comment expliquez-vous nos changements climatiques, cependant ? Et qu’est-ce qui nous attend ?

Une interprétation plus simple et plus logique est la suivante : le climat étant cyclique, nous avons atteint vers la fin des années nonante le sommet de la courbe de réchauffement. L’activité du soleil s’étant ensuite sérieusement ralentie, nous entamons maintenant une descente vers des températures plus faibles. Un tel phénomène s’est déjà produit maintes fois – et sans notre intervention – au cours des décennies et des siècles précédents.

On va donc avoir de plus en plus froid ?

Je ne suis pas devin. Mais la NASA nous annonce le cycle 25 qui est l’un des plus froids possibles. En attendant, les températures devraient encore descendre en 2014 et en 2015. ¦


jeudi 25 avril 2013

Un documentaire dévoilant l’autopsie d’un alien



Un documentaire dévoilant l’autopsie d’un alien bientôt diffusé Un film documentaire, qui sera diffusé très prochainement, a promis de dévoiler au monde entier des preuves irréfutables sur l’existence des OVNI. De même, le réalisateur a révélé que le film montrera l’autopsie d’un véritable corps extraterrestre récupéré en Amérique du Sud …

L'ADN ancien des européens révèle l'existence de mystérieuses migrations il y a 4800 ans



L'ADN des européens a été brusquement modifié il y a 4800 ans, révèle une étude menée sur 39 ossements anciens. Un résultat qui suggère l'arrivée d'importantes vagues migratoires en Europe à cette époque, un évènement demeuré jusqu'ici inconnu des scientifiques. 


Une étude génétique menée sur 39 squelettes anciens suggère l'existence d'un bouleversement migratoire inconnu, survenu en Europe il y a 4800 ans. Cette découverte, effectuée par une équipe internationale regroupant notamment des chercheurs de l'Université d'Adélaïde (Australie) et de l'Université de Mainz (Allemagne), a été publié le 23 avril 2013 dans la revue Nature Communications. 

Pour comprendre la portée de ce résultat, il faut d'abord savoir que les scientifiques considéraient jusqu'ici que l'ADN des Européens modernes était issu de deux événements migratoires majeurs : d'une part, un peuplement par les chasseurs-cueilleurs du Paléolithique, débutant il y a environ 35 000 ans et s'étalant sur 15 000 à 20 000 ans, et d'autre part une migration d'agriculteurs issus du Proche-Orient, entamée il y a 7500 ans environ. 

Or, l'analyse de l'ADN mitochondrial réalisée par les auteurs de cette nouvelle étude sur ces 39 ossements humains, découverts il y a plusieurs années en Allemagne et en Italie, bouleverse complètement ce scénario (pour mémoire, l'ADN mitochondrial se transmet de la mère aux enfants de façon quasiment inchangée, ce qui permet de reconstituer l'ascendance maternelle de nos ancêtres). Et pour cause, puisque l'étude de ces ossements a révélé qu'un autre événement migratoire inconnu jusqu'ici, survenu il y a 4800 ans, avait considérablement influé sur l'ADN des Européens modernes. Une influence qui serait même encore plus forte que l'impact génétique provoqué par l'arrivée des agriculteurs du Proche-Orient il y a 7500 ans, dont les généticiens pensaient pourtant jusqu'ici qu'elle avait été déterminante dans la constitution de l'ADN des Européens d'aujourd'hui ! 

Qui sont ces mystérieux migrants arrivés en Europe il y a 4800 ans ? Selon les auteurs de l'étude, il pourrait notamment s'agir des populations associées à la culture dite campaniforme (l'objet caractéristique de la culture campaniforme est un gobelet en céramique en forme de cloche, fréquemment retrouvé dans les sépultures), dont on sait qu'elles sont arrivées en Europe par la péninsule ibérique il y a 4000 à 5000 ans, pour s'implanter par la suite dans plusieurs bassins géographiques de l'Europe de l'Ouest. Ces populations sont notamment liées à l'expansion des langues celtiques le long de la côte atlantique, jusqu'en Grande-Bretagne. 

Quant aux raisons permettant d'expliquer la brutalité du basculement génétique observé par les auteurs de l'étude lors de l'analyse génétique de ces 39 ossements, elles demeurent pour l'instant obscures. Mais gageons que cette découverte va inciter les scientifiques à se pencher de façon encore plus assidue sur cette période de l'histoire de l'Humanité, afin d'en extraire quelques premiers éléments de réponse...

mardi 23 avril 2013

Kepler découvre 3 nouvelles exoplanètes potentiellement habitables



La NASA a annoncé que le télescope Kepler avait découvert deux nouveaux systèmes planétaires nommés Kepler-62 et Kepler-69. Ils recèlent à eux deux, trois planètes plus grosses que la Terre mais situées dans la zone habitable autour de leur étoile respective. 

La liste des 2.740 planètes candidates découvertes par Kepler s'allonge une nouvelle fois, et de façon spectaculaire ! Selon la NASA, le télescope spatial a en effet réalisé une copieuse découverte à plus de 1.000 années-lumière de la Terre : deux systèmes planétaires qui étaient jusqu'ici inconnus et qui ont été nommés Kepler-62 et Kepler-69. Mais là n'est pas le plus intéressant puisque que ces systèmes comptent à eux deux pas moins de sept planètes dont trois se trouveraient dans la "zone habitable" de leur étoile.

Le système Kepler-62 a été repéré à quelque 1.200 années-lumière de nous dans la constellation de la Lyre et possède cinq planètes, 62b, 62c, 62d, 62e et 62f. Toutes orbitent autour d'une étoile classée parmi les naines K2, équivalant en taille à environ deux-tiers du Soleil et brillant environ cinq fois moins que lui. Mais certains planètes en sont plus proches que d'autres. En effet, Kepler 62b, 62c et 62d se trouvent à une très faible distance de l'étoile et orbitent autour d'elle en respectivement, 5, 12 et 18 jours. Elles présentent ainsi des températures très élevées à leur surface et ne pourraient aucunement abriter de la vie telle que nous la connaissons.  
 Des super-Terres dans la zone habitable

En revanche, Kepler-62e et 62f apparaissent elles bien plus hospitalières puisqu'il leur faut respectivement 122 et 269 jours pour orbiter autour de leur étoile. Une distance qui les place dans la zone habitable, c'est-à-dire ni trop loin, ni trop près d'elle, à un endroit qui conduit à des températures de surface autorisant l'existence d'eau liquide sur la planète.

 Selon la NASA, ces deux exoplanètes pourraient donc être de parfaites candidates pour abriter de la vie, d'autant plus lorsque l'on considère leurs dimensions. Kepler-62e est environ 40% plus grosse que la Terre, ce qui fait d'elle l'exoplanète la plus proche en taille de la nôtre se situant dans la zone habitable de son étoile. Kepler-62f est elle environ 60% plus grosse que la Terre. Les astronomes suggèrent que 62f aurait une composition rocheuse, mais sa masse reste pour l'heure inconnue, de même que la composition de 62e. 

"La détection et la confirmation des planètes sont un effort de talent et de ressources énormément collaboratif, et requièrent l'expertise de la communauté scientifique pour produire ces résultats formidables", a commenté William Borucki, du Ames Research Center de la NASA, principal auteur de l'étude publiée dans la revue Science 

Une planète autour d'une étoile semblable au Soleil 

Les découvertes sont loin de s'arrêter là, comme le souligne le communiqué de la NASA puisque l'autre système Kepler 69 présente également un grand intérêt. Situé à environ 2.700 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne, ce système compte lui deux planètes 69b et 69c qui orbitent autour d'une étoile appartenant à la même classe que notre Soleil, la classe G. Celle-ci est 93% aussi grosse que le Soleil et elle brille environ 80% autant que lui. Or, si Kepler 69b orbite en 13 jours, autour de l'étoile, la planète 69c en fait le tour en 242 jours. Un chiffre qui la place également dans la zone habitable de son étoile.

"Nous ne connaissons qu'une seule étoile qui accueille une planète avec de la vie, le Soleil. Trouver une planète dans la zone habitable d'une étoile semblable au Soleil est donc un pas significatif vers la découverte de véritables planètes similaires à la Terre", a expliqué Thomas Barclay, du Bay Area Environmental Research Institute de Sonoma en Californie et principal auteur de l'étude parue dans l'Astrophysical Journal. Selon cette dernière, Kepler 69c est environ 70% plus large que la Terre mais pourrait être une bonne candidate en matière d'habitabilité. Reste que sa composition, supposée rocheuse, demeure encore imprécise.

Plus qu'une question de temps ?

Bien que ces résultats et l'existence de ces planètes doivent encore être confirmés, les découvertes de Kepler fournissent un nouvel espoir de dénicher un jour une planète semblable à la Terre. "Le télescope Kepler s'est révélé être une rock star de la science. La découverte de ces planètes rocheuses dans la zone habitable nous amène un peu plus près de découvrir un monde comme le nôtre. Ce n'est plus qu'une question de temps avant de savoir si la galaxie abrite une multitude de planètes comme la Terre, ou si nous sommes une rareté", conclut ainsi John Grunsfeld, administrateur associé du Science Mission Directorate de la NASA Headquarters.

mardi 16 avril 2013

Comment retarder le vieillissement biologique de l'homme ?


Selon leur état de santé, a notre époque moderne, les gens dépassent souvent l’âge officiellement indiqué dans leurs pièces d’identité de 15 ans, estiment les chercheurs hollandais. Dès l’enfance, nombreux sont ceux qui souffrent d’hypertension, d’obésité et de diabète.

Une bonne hygiène de vie, une alimentation correcte, l'absence d’habitudes nocives : ces recommandations sont données en premier lieu, si une personne veut paraître jeune. Et néanmoins, pratiquement chacun de nous peut se rappeler des connaissances qui vivaient sans renoncer à quoi que ce soit et avaient à 70 ans l'air de quadragénaires. Pourquoi donc certains chançards à 45 semblent avoir 30 ans à peine, tandis que d’autres, à 35 ans, ont l’air de quinquagénaires ? Les chercheurs de l’Institut national hollandais de la santé publique et de l'environnement se sont penchés sur cette question. Les médecins ont étudié l'état de santé de 6 000 personnes âgées de 20 à 50 ans. Les résultats des études ont montré que les hommes modernes dépassaient leur âge « officiel » de 15 années. Dès leur enfance, plusieurs individus souffrent d'hypertension, d'obésité et de diabète. On recense actuellement 20% de plus d’êtres humains robustes âgés de 30 ans qu’auparavant. Et l'obésité parmi les jeunes filles est 2 fois plus souvent fréquente qu’il y a 10 ans.

Pourtant, de nombreux scientifiques affirment que ces derniers temps le vieillissement dans le monde a considérablement rajeuni. La raison réside dans l'augmentation de la longévité de la population, selon le professeur Viacheslav Kroutko, directeur du Centre National de Gérontologie.

« En Angleterre, en Europe et partout ailleurs, on observe depuis de nombreuses années déjà une croissance de la longévité et c’est un processus régulier, systématique, c'est-à-dire que les gens ont un mode de vie plus saint, et en conséquence, cela concerne l'âge biologique, qui reflète simplement la viabilité générale, le niveau général de santé.

En fait, il y a deux ans, la longévité en Russie a augmenté d’une année et demie, en moyenne, c’est un peu plus de 70 ans ce qui est tout à fait comparable avec les paramètres européens. De plus, la mortalité a baissé de plus de 5 % ce qui dans notre pays est le record des dernières 19 années.

Dans tous les cas, la conformité de l'âge biologique à l’âge réel est très individuelle, les facteurs tels que le mode de vie, la présence des habitudes nocives, l'hérédité et plusieurs autres jouent leur rôle.

On sait qu’en menant une bonne hygiène de vie et en absorbant des préparations spéciales à base de peptides sous contrôle médical, toute personne est capable d'augmenter sa longévité de 40 % au maximum.

Encore un moyen de rester éternellement jeune est révélé par des psychologues. D’après leur avis, les personnes ayant un but dans la vie sont capables de retarder le début de la période de vieillissement. En réalité, pour l'organisme, c’est un programme d’actions pour un certain délai. Un important moment dans la prévention du vieillissement de l’individu. Et parfois le processus est plus intéressant que le résultat lui-même. C'est pourquoi, fixez-vous des buts, rêvez, et alors les rides prématurées ne vous dérangeront pas pendant encore longtemps. T

vendredi 12 avril 2013

Découverte d'une pyramide mystérieuse au fond de la mer de Galilée


Les archéologues ont découvert au fond de la mer de Galilée, en Israël, une pyramide géante de forme conique construite avec des blocs de basalte et des rochers. La pyramide pèse quelque 60 000 tonnes mesure 10 m de hauteur.

Selon certaines hypothèses, de telles constructions auraient été utilisées comme sépultures.

La pyramide mystérieuse a été détectée pour la première fois en été 2003 pendant un échosondage du fond de la mer. Ensuite elle a été étudiée par des plongeurs.

Un autre ingrédient nécessaire à la vie détectée, sur "Europe", la lune de Jupiter


Publiée en ligne sur arXiv.org, la version web de Astrophysical Journal Letters, une nouvelle étude américaine montre que le peroxyde d'hydrogène - une source d'énergie importante pour la vie - est abondant, à la surface d'Europe, l'un des satellites naturels de Jupiter.

Sixième satellite naturel de Jupiter, Europe est depuis longtemps objet d'un grand intérêt pour les astronomes. En effet, si certains continuent de scruter l'espace en quête de planètes potentiellement habitables, cette lune est considérée comme tout à fait propice pour abriter de la vie, en raison de l'océan qu'elle abrite. 

Une possibilité qui vient juste d'être renforcée par une nouvelle découverte : Europe montrerait également d'autres éléments nécessaires à la vie. 

Pour en arriver là, le Dr Kevin Hand, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA, et le Dr Mike Brown, du California Institute of Technology ont analysé des données recueillies en 2011 par les instruments du télescope Keck II, installé sur le site de Mauna Kea, à Hawaï. Cette analyse a alors révélé, sur la surface glacée d'Europe, une assez importante concentration de peroxyde d'hydrogène. 

Selon les résultats publiés, les valeurs sont montées jusqu'à 0,12% de cette molécule par rapport à l'eau constituant la croûte de glace, laquelle recouvre un océan. Or, le peroxyde d'hydrogène, ou eau oxygénée, est un moteur à énergie potentiel que peuvent utiliser les processus biochimiques de la vie.

Celui-ci est produit par l'intermédiaire des intenses radiations frappant la surface d'Europe. Mais jusqu'ici, les astronomes ne pensaient pas qu'il était aussi fréquent sur la Lune. 

Une source d'énergie utile au développement de vie "La vie telle que nous la connaissons a besoin d'eau liquide, d'éléments comme le carbone, l'azote, le phosphore et le soufre, et d'une certaine forme d'énergie chimique ou lumineuse (...). Europe possède de l'eau liquide [sous la surface de glace] et ces éléments, et nous pensons que les composés tels que le peroxyde peuvent remplir une partie importante des besoins énergétiques", a expliqué le Dr Hand cité dans un communiqué de la NASA. "Sur Terre, la disponibilité des oxydants comme le peroxyde a été un élément essentiel pour une progression de la complexité vers une vie multicellulaire. 

Sur Europe, des composés abondants comme le peroxyde pourraient contribuer à satisfaire les besoins en énergie chimique nécessaire à la vie dans l'océan. 

Ce que nous ignorons encore, c'est comment la surface et l'océan y interagissent, mais cela pourrait fournir un mécanisme permettant à toute vie d'utiliser le peroxyde", a conclu le scientifique.

jeudi 11 avril 2013

Des astrophysiciens pensent qu'un message extraterrestre est caché dans l'ADN humain



Deux scientifiques originaires du Kazakhstan ont révélé qu'un message de nature extraterrestre serait inscrit dans l'ADN humain. 

Le physicien Vladimir I. Shcherbak, d'une université du Kazakhstan, et l'astrobiologiste Maxim A. Makukov, de l'Astrophysical Fesenkov Institut, avancent qu'un message de nature extraterrestre pourrait être caché dans l'ADN humain. Ces chercheurs affirment donc que chacun pourrait porter en lui une preuve de l’existence tant controversée des extraterrestres.

La théorie de l'évolution de Darwin trouve ses limites

A la question "Sommes-nous seuls sur Terre?", la réponse pourrait se trouver en chacun de nous. Plutôt que de se lancer dans des expéditions incroyables pour visiter les autres planètes, le chercheur Vladimir I. Shcherbak nous invite à regarder en nous-même, dans l'ADN Humain. En effet, il a découvert que le génome humain pourrait être le fruit d'une civilisation extraterrestre.

D'après ces chercheurs, les gènes humains contiendraient la marque d'une civilisation vieille de plusieurs millions ou milliards d'années, relaie le site du Huffington Post. Pour ces chercheurs, le système de Darwin rencontre ses limites lorsqu'il agit d'expliquer un message mathématique découvert dans le code génétique humain. Ils émettent donc l'hypothèse selon laquelle cette marque génétique serait de nature extraterrestre.

"Notre code génétique semble avoir été inventé en dehors du système solaire"

Dans leur étude intitulée "The 'Wow Signal' du code génétique terrestre" le duo de chercheurs explique qu'une civilisation extraterrestre a sans doute laissé ses empreintes sur Terre. Cette étude est une nouvelle approche sur la question de la vie extraterrestre. En effet, l'institut SETI, qui recherche des signes de vie en dehors de la planète bleue, utilise des télescopes et cherchent à capter des signaux venus de l'espace. La vision des deux chercheurs propose une approche biologique. "Notre code génétique semble avoir été inventé en dehors du système solaire déjà plusieurs milliards d'années", concluent les chercheurs. Plus qu'une énième information sur l'existence des êtres venus de l'espace, cette nouvelle étude retracée par le site Discovery news est une invitation à se fixer sur les origines de l'Homme. Le corps humain renferme encore beaucoup trop de mystères et l'un d'entre eux pourrait bien être une explication claire sur les origines de l'humanité.


De l’ADN polynésien chez un peuple brésilien disparu


Les liens entre Amérique du Sud et Polynésie se confirment


C’est une question qui passionne l’opinion publique américaine et questionne la société polynésienne. De notre côté du lagon, c’est l’histoire de nos origines qui interroge, de l’autre côté du Pacifique, c’est la paternité des premiers découvreurs qui est en jeu.

À l’origine de la découverte du passage ou du peuplement Polynésien sur les terres amérindiennes, 14 crânes de Botocudos conservées dans une université, après que ce peuple de pêcheurs cueilleurs a été massacré par les Portugais au XIXe siècle. Après avoir extrait l’ADN, les scientifiques ont découvert que deux des quatorze Botocudos possédaient des séquences d’ADN typiques des Polynésiens. Selon l’un des chercheurs, l’une des hypothèses est que les ancêtres des Botocudos se soient métissés avec ceux des Polynésiens avant le peuplement de l’Amérique, que la plupart des scientifiques situent il y a entre 15 000 et 20 000 ans. Un autre scénario semble cependant plus plausible que celui d’un métissage ancestral : l’hypothèse selon laquelle des navigateurs polynésiens auraient débarqué en Amérique du Sud avant l’arrivée de Christophe Colomb. “Il y a eu au moins une connexion préhistorique entre la Polynésie et l’Amérique du Sud”, explique ainsi l’un des scientifiques brésiliens. La présence polynésienne en Amérique du Sud a également été confirmée par les analyses ADN menés par des chercheurs français sur la patate douce. “Celle consommée en Océanie est bel et bien d’origine américaine”, confirme la chercheuse. Mieux : elle aurait été ramenée d’Amérique du sud par des bateaux polynésiens, plusieurs siècles avant les explorateurs européens. C’est la génétique des plantes cultivées qui livre cet éclairage inédit sur l’histoire des hommes. “Ce tubercule, aujourd’hui cultivé dans toute la zone Pacifique, était déjà décrit dans les récits des premiers explorateurs européens. Ce que confirment les restes archéologiques découverts à Hawaï, aux Iles Cook et en Nouvelle-Zélande, datés entre 1 000 et 1 400 après Jésus-Christ” explique Caroline Roullier, doctorante en biologie évolutive et auteur de l’étude.



“L’entité polynésienne s’est créée à partir d’un brassage”

Edgar Tetahiotupa, docteur en anthropologie

Quelle importance a les études révélées ces dernières semaines ? C’est important dans la mesure où effectivement, toutes les études qui ont été menées, qu’elles soient linguistiques, anthropologiques ou génétiques, apportent, confirment, ajoutent de l’eau au moulin de la théorie qui affirme que les Polynésiens se sont déplacés d’Ouest en Est. Ils auraient quitté les côtes asiatiques et petit à petit, auraient peuplé le Pacifique pour arriver jusqu’ici.

Ils auraient ensuite gagné l’Amérique du Sud ?

Ensuite ils seraient allés en Amérique du Sud selon certaines théories. Les Polynésiens y seraient allés pour chercher des patates douces. Mais je trouve que cette façon de voir occulte le fait qu’il y a eu un déplacement - pour moi en tout cas c’est sûr- de l’Amérique vers le Pacifique.

Ce qu’avait démontré Thor Heyerdahl…

Oui et c’est ce que j’ai ensuite pu prouver par mes recherches en linguistique, en images mais aussi par tous les concepts culturels que l’on retrouve et qui sont très proches des nôtres. Je trouve dommage qu’une grande part de la communauté scientifique ne voie qu’une seule théorie et qu’un seul déplacement à partir de Taïwan. Peut-être - car maintenant, les esprits commencent à s’ouvrir - certains pourraient admettre qu’il y ait un déplacement possible à partir de l’Amérique.

Mais un déplacement d’Amérique pour peupler la Polynésie, ou simplement pour ramener certains produits comme la patate douce ?

Dans ma vision des choses, j’ai un peu de mal à intégrer la pensée unique. De tout temps, les hommes de tous les peuples se sont déplacés et nous, Polynésiens, sommes les résultats de ces innombrables déplacements. Je ne pense pas que le Polynésien s’est constitué Polynésien avant d’arriver ici. Je pense que l’entité s’est créée à partir d’un brassage, et que le peuple s’est considéré Polynésien au fur et à mesure.

Ces découvertes confortent en tout cas votre théorie…

Cela apporte un élément et montre que c’est plus complexe que ce que l’on veut bien croire. Maintenant, cette étude n’est pas terminée, nous aurons peut-être d’autres révélations. En tout cas, des hypothèses ont été émises. De mon côté j’avais fait des recherches, et il y a effectivement un déplacement indéniable à partir de l’Amérique. C’est fortement ancré dans des représentations, des images, des mots.

mardi 9 avril 2013

Un talisman sibérien similaire à celui que portait Cléopâtre

Photо: http://altai4u.com

Les archéologues de l’Altaï ont découvert un collier qui rappelle les bijoux de la célèbre reine égyptienne. Les chercheurs se sont adressés à la communauté scientifique pour pouvoir en apprendre davantage sur cette découverte hors du commun.

C’est un tombeau ancien dans un monticule de la région d’Altaï (Sibérie Occidentale) où les chercheurs ont découvert les restes d’une femme apparemment d’origine noble avec des bijoux particuliers. Cette femme qui a été enterrée il y a 2400 ans, portait sur sa poitrine un collier élégant en verre coloré. On sait que Cléopâtre, qui régnait sur l'Egypte 300 ans après, aimait particulièrement ce genre de bijoux.

Pour l’instant, on ne peut que donner des hypothèses sur l’arrivée de ce collier, réalisé dans le style italien mille fiori en Egypte. Ce genre de colliers était fabriqué à partir de tiges de verre avec des dessins colorés visibles uniquement en coupe transversale. L’ornement de la section transversale de ce type de tiges était créé à l’aide de fines couches de tiges de verre placées sur le noyau. On réchauffait ensuite la tige pour la rétrécir jusqu’à la taille d’un ornement. Puis, cette tige était coupée en tranches fines et elles étaient transformées en perles. Cette technique unique a été inventée à Thèbes au VIe siècle av. J .-C. Cette ville était considérée comme la capitale culturelle de l'Egypte ancienne. Il est donc fort probable que les perles d’Altaï y soient arrivées à cette même époque. Les Égyptiens maintenaient des relations commerciales avec les Scythes de l’Altaï. Et les bijoux étaient très à la mode à l’époque, car ils prenaient très peu de place et avaient une durée de conservation indéfinie.

Contrairement aux croyances populaires, les routes commerciales de l'Altaï ont été ouvertes longtemps avant la route de la Soie, dont le fonctionnement remonte au IIe siècle av. J.-C. Cette route passait par le Sud de l’Altaï. Toutefois une autre route commerciale qui passe par le Nord de cette région, ainsi que le Kazakhstan du Nord, l’Inde du Nord et l’Afghanistan, continuant au Sud de l’Europe avec comme lieu de destination l’Afrique, n’était pas moins populaire. Très probablement, ce collier est arrivé dans l'Oural en provenance de l'Egypte en empruntant ce chemin.


Olga Sobolevskaïa

dimanche 7 avril 2013

Des aliens pour protéger la Maison Blanche ?




"Ce n'est pas une défaillance de votre téléviseur, n'essayez donc pas de régler l'image." L'accroche de la série Au-delà du réel aurait pu accompagner cette vidéo.

Publiée sur YouTube, elle alimente une nouvelle théorie conspirationniste dont s'amuse Wired. Et pour cause : si l'on en croit ces images, la Maison Blanche aurait déployé au moins un garde extraterrrestre et reptilien pas plus tard que le 4 mars dernier, lors du discours de Barack Obama au Comité pour les affaires publiques américano-israéliennes.

La voix du narrateur appuie les images d'un commentaire apocalyptique : "Même si à première vue le fantôme ressemble à un agent type des services secrets, une série de caractéristiques bizarres sur la tête, le visage, plus un comportement étrange et des mouvements terrifiants suggèrent autre chose." A savoir que l'agent serait tout simplement en train de "se métamorphoser en une sorte de reptile". Voilà. Et si vous n'êtes toujours pas convaincus, sachez que le diable ressemble à Obama. Hasard ?

Mus par leur professionnalisme, les journalistes de Wired ont évidemment posé la question de l'existence de ces gardes du corps extraterrestres directement à la Maison Blanche . "Je ne peux pas confirmer les allégations formulées dans cette vidéo, mais un tel programme pour protéger le président avec des extraterrestres ou des robots serait de toute façon victime du séquestre" et de ses coupes budgétaires, leur a répondu Caitlin Hayden, porte-parole en chef pour le Conseil national de sécurité. "Je vous renvoie aux services secrets ou la zone 51 pour plus de détails." Pas de démenti, donc, ironise le site.

Source: Big browser

mercredi 3 avril 2013

Le voyage vers les étoiles pourrait devenir une réalité


Peut-on accéder aux systèmes non-solaires avec une vitesse plus rapide que celle de la lumière ? Harold White affirme que c’est possible. Avec son équipe à la NASA, il développe un moteur supraluminique (capable de développer une vitesse plus rapide que celle de la lumière) pour des voyages interstellaires. Il faudra seulement deux semaines à un navire de ce type pour arriver au système Alpha du Centaure, qui se trouve à quatre années lumière du Soleil.

Les recherches de White sont une tentative de moderniser le concept développé par le physicien mexicain Miguel Alcubierre en 1994. Le chercheur a proposé de comprimer l'espace devant le vaisseau spatial et de le dilater derrière lui. Pour ce faire, il a proposé de placer le navire dans une « bulle » fabriquée de l’espace courbé. L’engin reste immobile à l’intérieur et c’est l’espace qui défile autour de lui, ce qui permet au vaisseau spatial de se déplacer. L’espace se dilate et se contracte avec une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière. Même si cette proposition a suscité une polémique dans le monde scientifique, elle ne contredit pas la théorie de la relativité d'Einstein, car aucun élément de la « bulle » ne se déplace réellement avec une vitesse plus rapide que celle de la lumière.

Pour créer cette « bulle », il faut trouver une substance avec une masse négative, qui, lors de sa désintégration pourrait émettre l’énergie « noire ». Dans les calculs des partisans de la théorie d’ Alcubierre, des valeurs différentes de cette théorie étaient données : l’équivalent de trois masses solaires, ou la masse de Jupiter. Dans ses calculs, Harold White l’a réduite jusqu'à 700 kilogrammes, à condition que la bulle ait une forme non pas de sphère, mais de tore (comme un donut). Le chercheur trouve les premiers résultats encourageants. Son équipe construit avec des lasers un modèle miniature du moteur Alcubierre, où l'espace est déformé avec une proportion d’un dix-millionième.

L’intérêt de la NASA pour cette idée n'a rien d'étrange. L’agence américaine de la défense DARPA finance également des recherches « non-traditionnelles », explique le recteur de l’Académie russe de l’astronautique Andreï Ionine.

« Un des principes de la DARPA, c’est que cette agence privilégie les projets perpendiculaires aux idées scientifiques répandues. Celui qui va à l'encontre des règles actuelles a plus de chances de trouver une solution originale à un problème. Ces recherches qui semblent relever de l’irréel devraient être soutenues et cela est tout à fait logique. L’Etat doit s’en occuper, car les entreprises privées ne sont pas intéressées par ce type de projets généralement ».

Le chef du département de l’institut de Physique Lebedev Oleg Dalkarov suppose que le financement de ces idées ne profite qu'à leurs auteurs et est un gaspillage de fonds.

« Des structures différentes, chez nous aussi, débloquent des fonds pour financer ce type de projets. D’abord, parce que le groupe d’experts qui décide du financement est souvent incompétent en la matière. Ensuite, parce que cela est bénéfique à certaines sociétés d’obtenir un financement public. Au bout d’un certain temps le délai pour lequel le crédit a été donné expirera et le groupe sera dissous. Et plus personne ne reviendra à cette idée ».

Y a-t-il un espoir que le vaisseau soit construit un jour ? Il faut d’abord trouver un moyen d’apprivoiser la masse négative qui est liée à l’éloignement des galaxies et la dilatation de l’Univers. Pour l’instant, les mathématiciens sont prêts à discuter du modèle mathématique et des expériences en laboratoire.