mercredi 29 août 2012

Cancer : une nouvelle molécule porteuse d'espoir


Des travaux de plus de dix années ont permis de mettre à jour la molécule "Liminib" qui bloquerait la formation des métastases.

Cette découverte donne de l'espoir aux patients cancéreux et pourrait, dans un premier temps, servir de traitement alternatif à la chimiothérapie d'ici quelques années.

Des chercheurs ont identifié une nouvelle molécule luttant contre les métastases cancéreux. Ce composé agit via un mécanisme totalement nouveau et nécessitera donc encore plusieurs tests avant les premiers essais cliniques. La découverte de cette molécule, baptisée "Liminib" (ou Pyr1), vient de paraître dans la revue américaine spécialisée Cancer Research. Le composé inhiberait en fait une enzyme nommée "LIM Kinase (LIMK)", qui se trouve en excès dans certaines tumeurs cancéreuses envahissantes, les carcinomes.

Or, l'enzyme en question coordonne en même temps le système de multiplication des cellules et leur mobilité, respectivement via les microtubules et les filaments d'actine. Sachant que la dissémination des métastases est la première cause de décès des patients cancéreux, puisqu'elle concerne 90% d'entre eux, ce nouveau mécanisme parait donc particulièrement prometteur. Néanmoins, il faudra attendre d'autres résultats avant de concrétiser le procédé.

Laurence Lafanechère, chercheur au CNRS et co-auteur des travaux, a détaillé à l'AFP : "Si tout va bien, il faudra encore quatre ou cinq ans avant de pouvoir démarrer les premières études cliniques chez l'homme". Néanmoins, le CEA, le CNRS et l'Institut Curie ont déjà établi un brevet couvrant la recherche. Ces trois laboratoires, ainsi que l'INSERM, travaillent sur le projet depuis 10 ans, en collaboration avec des équipes australiennes et britanniques.

Une efficacité et des effets secondaires à déterminer chez l'homme Les travaux ont été permis grâce à une plate-forme de "criblage à haut débit robotisée". C'est sur cette plate-forme que 30.000 molécules de la chimiothèque nationale française de l'Institut Curie ont été passées au crible. Parmi elles, Liminib a présenté l'activité voulue. La molécule serait toxique pour plusieurs lignées de cellules cancéreuses in vitro. Mieux encore : elle agirait aussi contre les cellules malades résistantes aux chimiothérapies.

D'autres tests ont été réalisés sur des rongeurs atteints de leucémie et ont prouvé l'efficacité et la bonne tolérance du produit. Mais les essais doivent être poursuivis sur ces animaux, puis sur les humains, en espérant que les effets secondaires ne soient pas plus importants que l'efficacité du composé.

Découverte de la première exoplanète située dans la zone habitable d'un système d'étoile double.


Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les étoiles doubles sont majoritaires dans la galaxie. D'après une étude récente, ce serait 75 % des étoiles qui sont concernées ... Dans cette mêlée, notre Soleil, quoique accompagné de 8 planètes (et aussi des planètes naines, des astéroïdes, des comètes, etc.) n'est qu'un curieux solitaire qui appartient à la minorité.

Dans leurs chasses aux exoplanètes, les astronomes ont beaucoup traqué les nouveaux mondes autour d'étoiles semblables à la nôtre. D'une nature plus complexe, les systèmes binaires ont été un peu délaissés jusqu'à la découverte, en septembre 2011, de Kepler-16b, première exoplanète évoluant autour de deux soleils ! Un monde qui a très vite été surnommé "Tatooine" en référence au mythique "Star Wars"car, s'il était habité, on pourrait assister à deux lever et coucher de soleils par jour (la notion de jour est à revoir)... La science-fiction est rattrapée par la réalité. Comparaison du système Kepler-47 avec notre système solaire : Bien qu'encore à l'aube de l'exploration et du recensement des nouveaux mondes, la découverte d'une "Tatooine" habitable ne semble plus très loin. En effet, grâce au télescope spatial Kepler qui épie 150 000 étoiles dans la direction de la constellation du Cygne, les chercheurs ont débusqué un nouveau "système circumbinaire planétaire". Cela se passe autour du couple stellaire Kepler-47, à environ 4 900 années-lumière de chez nous. Deux planètes, Kepler-47b et Kepler-47c – cette dernière est située dans la zone habitable — autour de deux étoiles qui s'éclipsent (du point de vue terrestre) tous les 7,5 jours ... La plus grande est de taille équivalente au Soleil mais est 16 % moins lumineuse. La seconde, beaucoup plus petite (environ un tiers de la taille du Soleil) brille relativement peu (1% de la luminosité solaire). La plus proche des deux exoplanètes, Kepler-47b, apparaît comme un monde étouffant. Elle gravite autour de ses deux étoiles-parents en seulement 50 jours. Quant à Kepler-47c, les observations indiquent qu'elle évolue dans la zone dite habitable (région où l'eau pourrait être à l'état liquide ...). Sa période orbitale est de 303 jours. Légèrement plus grande que notre Neptune, la planète semble gazeuse avec de possibles nuages de vapeur d'eau dans la haute atmosphère.

La quête d'exoplanètes paraissait absurde il y a encore une vingtaine d'années puis la présence de planètes autour de systèmes binaires semblait improbable voire impossible, or les découvertes déjouent à chaque fois nos représentations. Les chercheurs sont à présent ravis d'étendre leurs territoires en quête de la vie dans l'Univers.


Les pelures de bananes, un purificateur d'eau bio


Une équipe de chercheurs vient de découvrir, à son grand étonnement, que les pelures de bananes pouvaient filtrer l'eau aussi bien que les appareils trouvés dans le commerce. Des scientifiques brésiliens ont découvert que la pelure des bananes, une fois hachée, était capable de filtrer et d'éliminer les métaux lourds comme le plomb et le cuivre contenus dans l'eau. 

La peau des bananes se révèle même beaucoup plus efficace que les appareils de filtrages qui existent déjà et qu'on peut trouver dans les grandes surfaces ou les magasins spécialisés.Les chercheurs expliquent également qu'"un appareil de purification à base de pelures de bananes peut être utilisé jusqu'à 11 fois sans perdre ces fameuses propriétés" indique le site Enerzine.com. Cette découverte pourrait amener à purifier l'eau à moindre coût mais également à profiter de l'origine totalement naturelle du filtre qui permet d'éviter le passage par des étapes de modification chimique.

Le Soleil, une étoile, comme les autres ?


IRIB- Des chercheurs français et suisses viennent de montrer que la formation de notre Soleil serait identique à celle de n'importe quelle étoile. Il n'aurait donc pas bénéficié de "conditions exceptionnelles", comme on le pensait jusque là.

Si l'on pensait avoir percé bon nombre de mystères de l'astre qui nous illumine, il semblerait qu'on soit en réalité loin de tout savoir sur le Soleil. En effet, une étude publiée dans la revue Astronomy and Astrophysics a annoncé que la formation du Soleil n'aurait pas nécessité de "conditions exceptionnelles", contrairement à ce qu'on croyait jusqu'alors. C'est du moins ce que suggère la "généalogie" qu'ont réussi à établir les chercheurs Matthieu Gounelle du Laboratoire de Minéralogie et Cosmochimie du Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS et Georges Meynet de l'Observatoire de Genève.

Cette généalogie a pu être retracée grâce à l'élément "aluminium 26". Cet isotope radioactif de l'aluminium était en effet présent dans des météorites lors de la naissance du système solaire, il y a 4,5 milliards d'années. Or, avant la récente étude, les scientifiques pensaient que la présence de l'aluminium 26 à ce moment était due à l'explosion d'une supernova à proximité du soleil en formation. L'explosion d'une supernova marque la fin de vie de certaines étoiles en relâchant des éléments chimiques stables et radioactifs. Cet évènement aurait alors impliqué "des conditions exceptionnelles" à l'origine du système solaire.

Pour en savoir plus, messieurs Gounelle et Meynet ont alors mené des observations astronomiques de jeunes étoiles et des calculs d'astrophysiques. Ils ont ainsi pu montrer que l'aluminium 26 provenait en réalité du vent d'une étoile massive née plusieurs millions d'années avant le Soleil. Cette étoile serait la source même de la naissance de l'astre. Concrètement, ce dernier aurait été formé avec des centaines d'étoiles de composition chimique identique, qui se seraient ensuite dispersées dans la galaxie.

Les chercheurs souhaitent baptiser l'étoile massive originelle "Coatlicue", comme la mère du Soleil de la cosmogonie aztèque. "Coatlicue" serait ainsi née en même temps que 2.000 autres étoiles et aurait été environ trente fois plus grosse que le Soleil. Elle aurait ensuite disparu dans l'explosion d'une supernova. Le mécanisme de formation du Soleil serait ainsi générique à la formation d'étoiles. Un raisonnement qui suggère que notre astre ne serait donc qu'une "étoile banale". Le Soleil se trouverait actuellement au "milieu de sa vie" et aurait déjà réalisé vingt fois le tour de notre galaxie.

lundi 27 août 2012

Et si l’univers était né d’une grosse congélation plutôt que d’une grosse expansion


Un groupe de physiciens théoriques de l’Université et de l’Institut royal de technologie de Melbourne (Australie) ont proposé une nouvelle théorie sur l’origine de l’univers qui pourrait renverser le modèle du Big Bang. Cette nouvelle idée, qui se greffe sur une théorie naissante appelée “Quantum Graphity “, suggère que l’univers primitif a connu une transformation spectaculaire, ou décalage de phase, à la manière dont un liquide se transforme en un solide.

Selon leurs explications :

Cette théorie suggère que l’espace peut être composé de blocs de construction indivisibles, comme de minuscules atomes. Ces blocs indivisibles peuvent être imaginés comme étant semblables à des pixels qui composent une image sur un écran. Ces blocs de construction de l’espace sont très petits et donc impossibles à observer directement.

Cependant, pour prouver leur théorie, les chercheurs devront détecter les fissures dans la glace.

Selon le chercheur James Quach, le début de l’univers peut être comparé à un liquide, un état de la matière qui n’a pas de forme définie. En se refroidissant, il se “cristallise” dans les 3 dimensions spatiales et une de temps, qui caractérise notre univers actuel. C’est le refroidissement de l’univers, dit Quach, qui lui donne sa structure. Par conséquent, selon Quach et son équipe, le début de l’univers ne doit pas être modélisé comme un Big Bang, mais plutôt comme un Big Freeze (“grosse congélation”), s’apparentant à de l’eau se transformant en glace.

La motivation derrière le travail de Quach est son affirmation selon laquelle la théorie du Big Bang est insuffisante.

Selon lui :

Le plus gros problème avec le modèle du Big Bang, c’est le bang lui-même. Au bang, la physique échoue. Le modèle ne peut réaliser de prévisions de ce qui se passe au moment du Big Bang. Vous ne pouvez pas utiliser les mathématiques ou aucune des théories.

C’est là que la théorie Quantum Graphity pourrait venir à la rescousse.

Cette théorie, qui donne l’idée que l’espace et le temps sont des propriétés qui ont émergé soudainement, matérialisées à partir d’un état amorphe, a d’abord été mise en avant par les physiciens de l’Institut Perimeter au Canada en 2006 (Quantum graphity: A model of emergent locality). La théorie "Quantum Graphity”, veut que la géométrie à quatre dimensions de l’espace-temps, découvert par Albert Einstein, ne soit pas fondamentale, mais l’espace-temps serait plutôt comme un réseau constitué de minuscule blocs de construction, tout comme la matière semble continue, mais est en faite, constituée de blocs de construction appelés atomes.

Selon cette théorie, qui est une sorte de Saint Graal de la physique, l’espace est fait de morceaux indivisibles qui fonctionnent un peu à la manière des pixels sur un écran d’ordinateur. Par conséquent, pour que l’on donne raison à cette théorie, les chercheurs devront démontrer que ces blocs de construction existent vraiment.

Encore une fois, l’analogie des états de la matière pourrait aider. Lorsque des liquides se transformer en glace, ils se cristallisent et forment des fissures. Et bien Quach et son équipe doivent trouver l’équivalent cosmologique de ces “fissures”, ou défauts. Et en effet, ils pensent que cela pourrait être possible. Selon Quach, les particules de lumière et d’autres pourraient se tordre ou se réfléchir sur ces défauts, un effet qui pourrait être mesuré.

Dans la perspective de cette possibilité, l’équipe a déjà effectué quelques calculs et affirme qu’ils semblent confirmer la théorie. Le dénouement sera maintenant de mettre en place l’expérience appropriée. L’équipe a besoin de déterminer la distance moyenne entre les fissures: “On ne sait pas si elles sont microscopiques, ou en années-lumière de largeur”.

Par conséquent, la prochaine étape pour les chercheurs sera de savoir s’ils ont besoin d’utiliser un télescope ou un microscope.

L’étude publiée et disponible dans son intégralité sur Physical Review D : Domain structures in quantum graphity (PDF) et l’annonce sur le site de l’université RMIT (Institut royal de technologie de Melbourne) : Big Bang theory challenged by big chill.

Source: Gurumed

samedi 25 août 2012

Une pluie rouge tombe en Inde


Les habitants de la ville indienne de Kannur ont observé un phénomène extraordinaire de la nature. Une pluie rouge est tombée sporadiquement au Sud-ouest de l'Inde. Selon certaines sources, cette pluie rouge-sang colore les vêtements en rose et brûle les feuilles des arbres.

Les spécialistes ont étudié ce phénomène et ont conclu qu'il s'agissait bien de spores de microbes extraterrestres dégagés par une comète. Ces microbes de type hyperthermophiles contiennent des protéines, mais sans présence d'ADN, indiquant une nouvelle forme primitive de vie alternative aux gènes thermostables.

Ces microbes ayant leur propre cycle de vie, pouvant croitre sans la lumière du soleil a de très haute pression et à partir de 300° C ! /L


dimanche 19 août 2012

Des galaxies nouvellement créées


Une récente conférence de presse de la NASA était consacrée aux amas de galaxies, découverts récemment dans la constellation du Phénix. La raison de l’attention particulière attachée à ce thème – ce sont les propriétés inhabituelles de ces amas, qui peuvent changer la conception des scientifiques sur leur évolution. L’amas de galaxies a été découvert récemment grâce à l’effet de Suniaev-Zel'dovitch, nommé d’après les physiciens soviétiques qui ont été les premiers à décrire ce phénomène il y a 40 ans.

Un amas de galaxies dans la constellation du Phénix possède des propriétés étonnantes. D'abord, le flux de rayons X émanant de cet amas est exceptionnellement élevé. Ensuite, c’est l’un des plus importants amas connu à ce jour. Troisièmement, un taux exceptionnellement élevé de formation d'étoiles est observé dans la partie centrale de l'amas. Et enfin, à la grande surprise des chercheurs, dans le centre de l’amas, le gaz chaud se refroidit plus rapidement que dans d’autres amas. Les auteurs de cette recherche ont expliqué dans un article paru dans le magazine Nature quelle importance a cette découverte pour l’astrophysique.

Cet amas de galaxies a été découvert en 2010 lors d'une étude du ciel, réalisée depuis l’observatoire au pôle Sud (South Pole Telescope). Il se trouve à une distance de 5,7 milliards d'années-lumière de la Terre, et sa masse était initialement estimée à environ 1660 trillions de la masse solaire. Ensuite, en 2011, il a été observé par le groupe d'observation Chandra X-ray Observatory (NASA). Selon le premier auteur de l’article Michael McDonald de l’Institut de technologie de Massachusetts, c’est alors que les scientifiques ont compris qu’il s’agit d’un des plus importants amas de galaxies parmi les amas existants, avec une très forte luminosité dans le diapason des rayons X.

Les recherches plus détaillées ont inclus des observations optiques, infrarouges et des tests à rayons X avec des instruments basés au sol et dans l'espace, se basant sur les données historiques critiques. Les scientifiques ont découvert qu’un processus intensif de la création des étoiles est en train de se dérouler à l’intérieur de l’amas. Cela est assez inhabituel, car jusqu’à présent, l’apparition des nouvelles étoiles au centre des amas de galaxies était assez rare. Les spécialistes l’expliquent par des trous noirs supermassifs dans la partie centrale des galaxies, qui gonflent le gaz intergalactique d’énergie qui descend vers le centre de l’amas et ne lui permet pas de se refroidir au point de pouvoir créer de nouvelles étoiles.

Cependant, le trou noir supermassif dans la galaxie centrale de l’amas de Phenix possède beaucoup moins d’énergie, c’est pourquoi le rythme de formation stellaire y est assez élevé. Le plus important, c’est que le refroidissement rapide du gaz provoque l’augmentation de la masse de la galaxie centrale et de son trou noir - environ 60 masses solaires par an. Le rythme rapide d’augmentation de la masse prouve que ce processus n’a pas pu commencer il y a très longtemps, car sinon le trou noir, dont la masse représente actuellement environ 20 milliards de masses solaires aurait déjà dépassé par sa masse tous les amas proches de l’Univers.

Le taux élevé d’apparition des nouvelles étoiles est une autre raison pour laquelle cet amas est appelé « l'amas de Phénix ». Les scientifiques supposent que la formation stellaire dans les centres d'amas de galaxies s’est arrêtée il y a près de 10 milliards d'années, et les processus qui s’y produisent actuellement peuvent être qualifiés de « seconde naissance ».

Pour l’instant, les chercheurs n’arrivent pas à identifier s’il s’agit de la deuxième, troisième ou quatrième naissance. Dans une interview consacrée à ce projet de recherche, l’académicien de l’Académie russe des Sciences Rachid Suniaev (Institut de recherche spatiale de l'Académie russe des Sciences et de l'Institut d'astrophysique de Max-Planck en Allemagne) suppose que les amas de galaxies passent plusieurs fois par une période de «refroidissement» associée à une faible activité du trou noir.

On peut s'attendre au fait que l’avenir proche va apporter de nouvelles découvertes avec de nouveaux amas de galaxies. Leur recherche - c’est actuellement l'un des domaines les plus importants dans l'astrophysique. L’amas de Phénix a été découvert grâce à l’effet de Suniaev-Zel'dovich, associé avec les caractéristiques de l'interaction du rayonnement fossile de l'Univers avec le gaz chaud dans les amas de galaxies. Les photons de ce rayonnement fossile (resté dans l'Univers 300.000 ans après le Big Bang), en entrant en interaction avec les électrons du gaz dans les amas, modifie légèrement son énergie, et l'observateur, qui crée des cartes de ce processus, observe les déformations de l'énergie des photons dans la direction de l’amas. Cet effet a été prédit théoriquement par Rachid Suniaev et son professeur Iakov Zeldovitch en 1969, mais sa valeur était tellement faible que les scientifiques soviétiques avaient des doutes quant à la faisabilité de l’observation de ce phénomène. Cela n'a été possible qu’à la fin du siècle dernier avec l'apparition des instruments plus sensibles.


Olga Zakoutnaya

Chandra X-Ray et la galaxie Phoenix


Le télescope Chandra X-Ray de la NASA a découvert une "super-maman" cosmique, qui donne vie à plus d’étoiles en un jour que notre galaxie en une année.

Il s’agit d’une galaxie gigantesque et extrêmement distante, 5,7 milliards d’années-lumière, capable de créer 740 nouvelles étoiles par an. Notre Voie Lactée en produit une par an.

Elle se trouve au centre d’un groupe de galaxies récemment découvert et est de loin la plus grande création d’étoiles que les astronomes ont jamais observée. Ce qui chiffonne les scientifiques, c’est qu’une galaxie de ce type, de cette taille et de cet âge ne devrait pas enfanter à une telle rapidité, selon une étude parue dans le journal Nature.

C'est pourquoi les chercheurs l’ont baptisée "Phoenix", du nom de l’oiseau mythologique qui renaît de ses cendres.

samedi 18 août 2012

Le cerveau peut rester, éternellement, jeune


Le cerveau humain dispose d'un potentiel immense et peut conserver la jeunesse éternelle, attestent les recherches les plus récentes.

Les chercheurs américains de l'Université de Chicago ont établi que certaines personnes âgées de plus de 70 ans sont capables de réfléchir et de retenir aussi vite, voire, plus vite que les gens de 30 ans. Les chercheurs sont persuadés que cela dépend, dans une grande mesure, de l'hérédité, des particularités dans la composition des gènes, du mode de vie et du dynamisme.



mercredi 15 août 2012

L'ONU a divisé le monde en 10 régions: la prophétie des 10 cornes de Daniel ?


L'Agenda 21, plan d'action de l'ONU pour le 21ème siècle, est un contrat global qui lie les gouvernements du monde entier à un plan global qui a comme ambition, grossièrement, de permettre à un maximum de citoyens de la planète de manger, d'apprendre et de communiquer et d'optimiser la préservation de la Terre. Le concept du "développement durable" fait bien sûr partie du vocabulaire de l'Agenda 21, qui consiste en un renouvellement des ressources pour les générations futures.

Mais derrière ce beau grand discours "super-héros-écolo" se cache des réglementations extrêmement restrictives comme l'inacessibilité à des territoires "préservés", l'inacessibilité à certaines ressources parce que détenues par le patrimoine mondial, l'ultra conservatisme des ressources au nom de la sauvegarde mondiale, etc. Autrement dit, et pour faire court, l'ONU va devenir le dépositaire mondial de la Terre et de toutes ses ressources et va ainsi contrôler l'énergie, l'eau, la nourriture, l'agriculture et tous les aspects de la création! Le réchauffement climatique, doctrine de scientifiques à la solde des "maîtres à penser" de la gouvernance mondiale, est un enjeu majeur parmi les stratégies de l'ONU et de son Agenda 21. "Il faut lutter contre le réchauffement climatique et fournir les efforts visant à réduire les émissions causées par l'homme", blablabla!

Une des priorités de l'ONU, de l'Assemblée générale, est la paix globale et la sécurité mondiale. Prenez note de ces mots-clé, ils forment à eux seuls l'essence même de la mise en place d'un gouvernement mondial...

Dans le rapport, publié en 2009, intitulé "Les objectifs du Millénaire pour le développement", on trouve les objectifs stratégiques du développement durable. À la page 55 du document, on voit une illustration des continents ayant subi quelques modifications: le monde a été divisé en 10 régions. Ce schéma des 10 "groupes régionaux" a été créé par les Nations Unies pour des raisons pas très élaborées dans le document (libre-échange, partenariat commerciaux?), mais il est permis d'associer la création de ces "royaumes" à la prochaine gouvernance mondiale.

Sur le site de la Commission Européenne, , on peut aussi voir que les pays du monde appartiennent à 10 grandes régions.

Voyons maintenant ce que l'on trouve dans le Livre de Daniel (chapitre 7) concernant la gouvernance mondiale qui doit être constituée de 10 gouvernements ou "rois":

Après cela, je regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, il y avait un quatrième animal, terrible, épouvantable et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait ; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes. (...)

Il me parla ainsi : Le quatrième animal, c'est un quatrième royaume qui existera sur la terre, différent de tous les royaumes, et qui dévorera toute la terre, la foulera et la brisera. Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois.

Maintenant, dans le Livre de l'Apocalypse (chapitre 17):

Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. (...)

Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. (...)

Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête.

Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête. (...)

Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. (...)

Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre.

Pour ceux qui voudraient approfondir sur ces prophéties, je vous invite à lire l'excellent article de Joseph Sakala:




samedi 11 août 2012

L'univers se déplace à une vitesse vertigineuse, dans l'inconnu


Au cours de l'année, les astronomes de la NASA ont essayé de comprendre une chose inexplicable: plusieurs galaxies, que nous connaissons, sous le nom «Univers», se dirigent vers une chose grande. Les scientifiques ont appelé ce phénomène le «flux noir». Il s'agit du fait qu'un faisceau d'énergie (ou de la matière), qui se trouve en dehors de notre compréhension actuelle du monde, se déploie, dans un endroit loin dans l'espace, qui, entre autres choses, tire à lui l'univers tout entier observable, à une vitesse de 600 km/s. Quel est ce phénomène et comment il menace l'humanité, les scientifiques ne peuvent comprendre.

vendredi 10 août 2012

Les Etats-Unis travaillent à la fabrication d’armes microbiennes


Les Etats-Unis travaillent à la fabrication d’armes microbiennes qui détruisent la partie du cerveau qui gouverne la morale, a déclaré un analyste politique célèbre, selon Press TV.

Un film vidéo appartenant au Pentagone, qui a été piraté par le groupe hacker Anonymous, révèle les programmes de l’armée américaine, concernant la fabrication d’armes biologiques, qui prennent pour cible l’intelligence et la faculté d’accepter la religion, dans les communautés musulmanes, a indiqué l’islamologue et célèbre analyste américain, le Docteur Kevin Bert. Cette arme biologique sera distribuée, via le vaccin de la grippe.

Il a qualifié de génocide, le plan du Pentagone, contraire aux lois internationales.

Cela dit, les pirates d'Anonymous ont annoncé avoir attaqué les sites de l'agence de renseignement australienne (ASIO) et de la Direction de la défense radiotechnique d'Australie, a annoncé, vendredi, le Sydney gerald.

Selon le quotidien, l'accès au site d'ASIO a été bloqué, pendant 30 minutes, environ, son personnel ayant reconnu des perturbations de son fonctionnement. Les fuites de l'information secrète ont été, formellement, démenties. Les Anonymous se prononcent contre toute forme de censure, sur le Web, et piratent des sites d'organismes d'Etat et de grandes sociétés, pour protester.


Les pluies rouges en Inde sont peut-être d’origine extraterrestre


Les échantillons de pluie rouge contiennent une suspension épaisse de cellules qui n’ont pas d’ADN et peuvent provenir de fragments cométaires. (Godfrey Louis/CUSAT)
Une pluie extrêmement rare de couleur rouge est tombée durant quinze minutes dans la ville de Kannur, à Kerala, tôt dans la journée du 28 juin. Les habitants ont été troublés, mais ce n’est pas la première fois que l’État connaît une pluie colorée.

Cet étrange phénomène a d’abord été enregistré dans le Kerala quelques heures après une explosion de météorites en juillet 2001, quand un rocher venu de l’espace a explosé dans l’atmosphère. Plus de 120 averses de ce type ont alors été signalées, parfois aussi jaunes, vertes voire noires.

L’Astrobiologiste Godfrey Louis, pro-vice-chancelier de l’Université Cochin des Sciences et de la Technologie (Cochin University of Science and Technology, CUSAT) situé non loin du lieu de cette averse, a étudié les échantillons prélevés de cette pluie et y a découvert quelques propriétés étranges, notamment un phénomène d’autofluorescence- lumière caractéristique des structures cellulaires comme les mitochondries.

L’analyse scientifique a montré que la coloration rouge vif était due à des particules microscopiques ressemblant à des cellules biologiques, peut-être originaires de fragments de comètes.

Louis estime que ces cellules pourraient être extraterrestres car il existe déjà plusieurs théories reposant sur l’hypothèse que les comètes pourraient avoir un noyau d’eau chaude rempli de nutriments chimiques capables de soutenir la croissance microbienne.

Il a déclaré, par mail à The Epoch Times, que «ce type de comètes peuvent se briser en petits morceaux alors qu’elles se rapprochent du Soleil au cours de leur voyage en orbites fortement elliptiques», en ajoutant que «ces fragments peuvent rester en orbite et plus tard entrer périodiquement dans l’atmosphère terrestre».
Une cellule rouge vue par un microscope électronique à transmission. (Godfrey Louis/CUSAT)
Selon Louis les nuages de pluie rouge sont apparus du fait de particules rouges dans l’atmosphère issues d’un météore fragmenté.

«Il peut y avoir une quantité de l’ordre de 100 millions de cellules dans un litre d’eau de pluie rouge», a-t-il déclaré, «la pluie rouge pouvant apparaître sombre comme du café si la concentration de ces cellules dans l’eau de pluie est plus dense».

Ces cellules «alien» ressemblent à des cellules normales, mais il leur manque les molécules biologiques habituelles comme l’ADN et on s’attend à y découvrir un système biochimique relativement différent.

Louis explique que «contrairement à d’autres cellules biologiques, ces microbes de pluie rouge peuvent résister à des températures très élevées», et il ajoute qu’«il est possible de les cultiver à des températures aussi élevées que 300 degrés centigrades».

«Même les bactéries appréciant la chaleur, dites thermophiles, les plus résistantes de notre Terre ne peuvent supporter les conditions auxquelles peuvent se soumettre les cellules rouges».

«A l’heure actuelle nous connaissons les microbes hyperthermophiles, mais ceux-ci ne survivent pas au-dessus d’une température de 122 degrés centigrade».

Auparavant il a été suggéré que cette pluie colorée aurait été le fruit d’un mélange d’eau et de particules de poussière du désert. Cependant cette idée a dû être abandonnée en raison de l’apparition très localisée de ce phénomène malgré les changements climatiques qui durent depuis deux mois.

Louis a également étudié la pluie jaune, affirmant que celle-ci contient des matériaux dissous qui nous sont inconnus, mais qui ne sont pas les cellules rouges.

«La pluie jaune et la pluie rouge sont liées par le fait qu’elles montrent toutes deux cette caractéristique inhabituelle, à savoir l’autofluorescence», a-t-il déclaré. «On en déduit que les matières dissoutes dans la pluie jaune sont des sous-produits de ces micro-organismes».

Les chercheurs essayent d’identifier les composants moléculaires des cellules rouges et d’approfondir leurs connaissances en matière de pluies colorées.


Source: La Grande époque

jeudi 9 août 2012

Une puce secrète sur votre carte d'identité - Information - Désinformation.



Le sun annonce que 2012 Nibiru alias Némésis a été détecté nous avons un deuxième soleil.


Il en a fallu du temps

Les scientifiques de la Nasa se sont enfin décidés à nous parler de Nibiru qu'ils appellent Némésis, comme l'appellaient les Grecs.

Ils se décident à en parler tout en continuant à proférer des mensonges car Nibiru, est très proche de la Terre et elle arrive avec son cortège d'astéroïdes. C'est cette planète qui est responsable des cataclysmes en cours et à venir, et de l'inversion des pôles magnétiques terrestres.

Ils parlent de Némésis (Nibiru), la planète des Dieux Annunakis qui est le double de notre Soleil et appelé aussi, Dark Solar, Némésis, Eris, Hercolubus, La planète apocalyptique, la planète de la fatalité, et dans la Bible, la planète Absinthe ou amertume. Elle est de couleur rouge orangé, elle fait 5 fois le diamètre de Jupiter (la plus grosse planète de notre système solaire) et en vérité elle a un cycle de révolution autour de notre Soleil de 3600 ans. Et comme pour Némésis (Nibiru), ne peut se voir à l'œil nu, car elle évolue sur la fréquence vibratoire des infrarouges. On ne peut la voir qu'avec les appareils photos ou les caméras, le matin au lever du soleil et le soir au coucher de soleil, car son orbite est très elliptique.

Le mensonge, c'est qu'elle est entrée dans notre système solaire depuis 1981, qu'elle est très proche de la Terre, qu'elle arrive avec son cortège d'astéroïdes et que c'est elle qui provoque les changements climatiques et l'inversion des pôles magnétiques terrestres.

Préparez-vous parce qu'elle va produire des cataclysmes terribles, tsunamis, tremblements de terre, éruptions volcaniques, tempêtes, cyclones, etc..., mais ça y est, voyez la une du Sun qui a repris un article de Space.com "An invisible star may be circling the Sun and causing deadly comets to bombard the Earth, scientists said yesterday". La Nasa l'a baptisée Nemesis (déesse de la vengeance, du grec "le don de ce qui est dû"), et, détail génial, c'est aussi le titre d'un roman de l'astrophysicien Bill Napier, auteur du fameux Hiver Cosmique. Etonnant, mais dans son roman, Napier raconte une vision similaire à ce que les Portugais ont vue le 13 octobre 1917 à Fatima, comme si un soleil tombait sur la terre. Etrange, n'est-ce pas ? Nemesis donc passe par le nuage d'Oort et envoie maintes comètes vers la terre ou le soleil. Notez que le Wide-Field Infrared Survey Explorer a été lancé par la NASA en janvier 2010 et 3 mois plus tard, cette info qui tombe sur un deuxième "soleil" dont la présence a été calculée grâce à la "planète naine" Sedna: "Professor John Matese, of the University of Louisiana at Lafayette, said most comets come from the same part of the Oort Cloud he added ... there is statistically significant evidence that this concentration of comets could be caused by a companion to the Sun"". Voir aussi la une choc du Sun, sur la présence d'un "soleil invisible", ou étoile invisible, qui tournerait autour du soleil sur une orbite elliptique. "




42 des 43 présidents américains sont issus d'un seul et même ancêtre: le Roi John d'Angleterre


Selon une nouvelle publiée en août 2010, une jeune fille de 12 ans aurait réussi l'exploit de relier 42 sur 43 présidents américains à un unique personnage: le Roi John d'Angleterre. Elle a fait ce que des historiens n'ont jamais été capables de faire, ou ce qu'ils n'ont jamais eu le droit de publier! Le seul président à ne pas faire partie de l'arbre présidentiel est Martin Van Buren. (c'est lui qui créa le parti démocrate). 



Un chirurgien expose ses preuves extraterrestres


IRIB- La conférence animée par le Dr Roger Leir, qui s’est tenue, en septembre 2007, en Nouvelle-Zélande, nous rappelle une chose : les implants de nature inconnue que l’on retire, chez certains individus, demeure un phénomène intrigant, encore plus, lorsque ces personnes affirment avoir été enlevées par des entités non-humaines, peu de temps auparavant ! Or, le Dr Leir, qui s’intéresse à ce délicat sujet, depuis plus de 10 ans, estime qu’avec son équipe chirurgicale, en Californie, il aurait retiré, au cours de sa carrière, en tant que chirurgien du pied, pas moins de 13 implants extraterrestres, sur ses patients.

Implants d’origine, non-identifiée, donc, et dont la composition laisse sceptiques les scientifiques… Car selon ce même docteur, déjà, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet - dont ‘The Aliens and the scalpel’ -, de nombreux laboratoires américains prestigieux (le Los Alamos National Laboratory, le New Mexico Tech et l'Université de Californie, à San Diego, entre autres) ont analysé les implants incriminés avec des résultats étonnants.

dimanche 5 août 2012

Guerre monétaire & Cyber-War


L’Inde sans électricité, sans métro, sans feux de signalisation, sans industrie, sans lumière, sans ordinateurs,…


Les médias, qui comme toujours racontent n’importe quoi, prenant leurs lecteurs pour de parfaits imbéciles, vous diront que cela vient du fait d’une mauvaise mousson. Un manque de pluie, qui a obligé les paysans à pomper dans les nappes phréatiques, déclenchant une surconsommation d’électricité, qui a déséquilibré le réseau électrique indien. Après, ce sont les dominos qui tombent et mettent le pays dans le noir.

L’Inde est le 6ieme producteur d’électricité de la planète, mais sa croissance démographique et économique est telle, qu’elle a du mal à répondre à la demande. L’Inde connait un déficit énergétique de 8 à 12%. C’est probablement l’un de ses talons d’Achille. Dans la nuit de dimanche à lundi, du 29 au 30 juillet, une panne d’électricité géante bloquait une grande partie du pays. 48 heures plus tard, une nouvelle panne créait à nouveau le chaos…. Pur hasard ?

GAZ, GOLD & GUERRE

Il y a quelques semaines, l’Inde défiait les Etats-Unis en concluant un accord avec l’Iran: Gaz contre Gold. Passant outre l’interdiction donnée par l’Empire de commercer avec l’Iran, l’Inde a contourné l’interdit par un troc, gaz iranien contre or indien. Ce faisant, l’Inde mettait en pratique la politique monétaire que préconisent la Chine et les rebelles à l’hégémonie du Dollar.

Ce black-out a été provoqué.

Il y 1000 manières de faire la guerre sans réveiller la masse moutonnière. Le plus simple est d’utiliser l’arsenal existant. Israël et les Etats-Unis ont développé une série de virus informatiques pour attaquer les centrales iraniennes.

Une arme informatique, mise en place par George Bush et utilisée par Barack Obama. Ce n’est pas le scénario d’un nouveau James Bond, mais les informations bien réelles que révèlent nos confrères du New York Times. Selon les experts du programme “Stuxnet” qui ont développé le virus, cette attaque aurait permis de retarder de cinq ans la mise en place du programme nucléaire iranien. Moshé Yaalon, ministre israélien des affaires stratégiques a reconnu les faits : “il est justifié, pour quiconque considère la menace iranienne comme une menace significative, de prendre différentes mesures, y compris celle-là, pour la stopper.” D’autres virus informatiques ont été découverts depuis “Stuxnet”. Il y a eu “Flame” et plus récemment “Duqu”, des virus dérivés de Stuxnet et donc provenant des mêmes sources.

La Guerre avec l’Iran n’a strictement rien à voir avec une quelconque menace nucléaire iranienne, faut-il encore le rappeler ? L’Iran est un état “terroriste” parce qu’il a dénoncé les accords américains de 73, imposant que les hydrocarbures soient facturés en Dollar. L’Iran a déclaré il y a plus de 6 ans, qu’il facturerait son gaz en Yen, en Euro, en Yuan ou en Roupie en fonction de la monnaie de ses acheteurs. Ce faisant, l’Iran a créé une lézarde dans la digue, créée pour protéger la monnaie fiduciaire américaine. Cette lézarde est depuis devenue une déchirure et c’est l’ensemble du système monétaire occidental qui s’effondre aujourd’hui sous nos yeux.

Les Maîtres du Monde d’hier n’ont pas l’intention de se laisser déposer de leur trônes sans combattre. Utilisant l’arsenal de virus informatiques à leur disposition, il leur a été facile de faire chuter la production d’électricité de l’Inde, créant instantanément un chaos total pour 700 millions d’indiens.

Réponse du berger à la bergère ?

Ce que vous ne savez peut être pas, c’est que l’Inde est l’un des pays les plus pointus en génie logiciel. Ce secteur représente plus de deux millions d’emplois directs et 4 à 6 millions d’emplois indirects. Bengalore, appelé Sillicon-City, est la Mecque de l’informatique indienne, qui a réalisé 76 Milliards de $ en 2010 et vise 225 B$ en 2020. Les Banques américaines ont beaucoup fait appel aux sociétés indiennes pour développer leurs programmes informatiques de trading électronique. Même si ce marché a fortement souffert depuis la crise des subprimes, les firmes de Wall Street sont très largement équipées de logiciels “made in india”.

Deux jours après une cyber-attack contre les centrales nucléaires indiennes, l’un des plus gros intervenants du trading électronique de Wall-Street, Knight Capital Corp, voit son programme informatique prendre la main et semer le chaos dans les cotations de 140 actions sur le NYSE. Je parie votre hot-dog contre mon curry d’agneau, que Knight a fait développer ses programmes à l’étranger. La plupart des programmeurs se gardent une “porte de derrière”, une entrée secrète pour aller faire des corrections de programme. Microsoft a offert une porte aux services américains, qui en usent et en abusent. Que les indiens en fassent autant, me semble de bonne guerre. Puisse t’il mettre par terre JPM de la même façon… mais peut être, l’ont ils déjà fait … ?

La première estimation évaluait les pertes brutes subies par Knight dans la journée à 440 M$, alors que leur marge du deuxième trimestre avait culminé à 30M$. Knight a du fermer ses ordinateurs cette semaine, perdant tous ses clients. Knight est en faillite. Le “détraqueur” a été détraqué.

A qui le tour ?

Dans cette étude réalisée par le Center for Strategy & Technology de la US-AF, rédigée en 1996 et déclassifiée depuis, où les futurologues étudiaient le rôle à venir de l’Air Force dans les années 2025, vous trouverez page 55, que “Wall Street a été détruite en 2012 par un HERF, qui a détruit toutes les données informatiques … La tourmente économique aux Etats-Unis dura des semaines, nécessaires à la reconstruction des données“.

Si vous allez voir page 54, de ce même document, vous verrez que ce même scénario envisageait: “en 2009, une pandémie de grippe frappa la Chine, puis se répandit rapidement partout dans le Monde… Personne ne put jamais déterminer, si le virus était du à une mutation naturelle ou à un travail de laboratoire.

Nous sommes donc en pleine guerre, n’en déplaise aux nostalgiques des canonnades et des charges à la baïonnette, et cette guerre monétaire, bancaire, économique et informatique, est tout aussi ruineuse que les précédentes.

Donc, chers lecteurs, nous ne saurions trop vous recommander de ne pas laisser votre capital en bourse, dans les mois qui viennent.


Alerte à tous les futurs cancéreux que nous sommes : L’AGROTERRORISME EST DANS NOS ASSIETTES !


L’agriculture et sa logique de mort Comment le monde paysan s’est laissé pervertir par celui des affaires, au détriment de la santé publique et de l’environnement. Un portrait peu flatteur de l’agriculteur et de sa logique de mort. Un impitoyable règlement de compte avec les paysans voyous.

En rage contre l’agriculture mercenaire des industries chimiques et contre le paysan bourreau des animaux, j’ai écrit ce livre l’automne dernier. Après quelques batailles avec “les censures”, il vient de paraître.

« J’ai autrefois craché le sang à la suite de traitements chimiques avec lesquels j’empoisonnais moi-même les autres… Tout le monde sait que les produits chimiques sont cancérigènes. » 30 juillet 1972, 20 h, première chaîne de télévision, le présentateur Philippe Gildas relate le congrès international de la défense de la Nature, tenu à Fleurance (Gers), dont le maire était alors l’illustre Maurice Mességué.

Chaque jour, chaque fois que vous ingérez un aliment, une boisson, vous risquez de contracter un cancer. L’agriculture et son complice capitaliste l’agro-alimentaire nous tuent à petit feu. C’est probablement le plus grand scandale du troisième millénaire.

Le monde agricole ne va guère apprécier cette dénonciation et le rejet, pour première fois global, de ses pratiques spécistes et pesticidaires : cruauté envers les animaux, consommateurs pris pour des cobayes et chaque fois plus exposés aux empoisonnements chimiques (dont les exploitants agricoles sont eux-mêmes les victimes kamikazes !), détérioration de la qualité biologique des sols, gestion courtermiste et éminemment capitaliste alors que l’agriculture demande évidemment une démarche respectueuse dans un souci d’avenir. La FNSEA, vecteur de l’horreur agricole française, cherchera à interdire la publication.

Ce livre est dédié aux animaux non-humains qui souffrent plus et davantage depuis l’avènement de l’agriculture industrielle et de son corollaire l’élevage concentrationnaire, ainsi qu’aux victimes humaines des produits agricoles pétris de résidus chimiques. Mais pas seulement. Je le dédie aussi à la pétro-tomate sans saveur, au poivron en deuil de son sol, à la pomme de terre aux gènes de poulet, de phalène, de virus et de bactérie, au maïs aux gènes de luciole, de pétunia, de blé, de scorpion, au riz aux gènes de haricot, de pois, de bactérie et d’humain, à la fraise-melon et au melon-fraise ou kiwi, à la banane empoisonnée, à l’abricot qui ne murira plus, à la cerise qui pourrit rien qu’en la regardant. Et à tous les « fruits » de notre antimonde aux terroirs perdus.

Alors, les futurs cancéreux que nous sommes, avant de passer à table, feraient désormais mieux de se souhaiter “bonne chance” que “bon appétit” !

S’il est plus question que jamais de faire payer les pollueurs, il serait grand temps de présenter la facture qui revient aux gangsters de l’agrotoxique.

L’agroterrorisme dans nos assiettes dit très fort ce que tout le monde pense tout bas !

« La vie avant la domestication. L’agriculture était en fait largement une vie de plaisir, de contact avec la nature, de sagesse des sens, d’égalité sexuelle, et de bonne santé. »John Zerzan

L’AGROTERRORISME DANS NOS ASSIETTES vient de paraître !

Michel Tarrier, 256 pages, Éditions LME

Commander le livre chez Amazon, Fnac ou l’éditeur :





vendredi 3 août 2012

Les yétis, se déplacent-ils vers le nord ?


L'été sibérien extrêmement chaud ennuie, paraît-il, aussi les yétis de Kouzbass, qui quittent les lieux habituels partant vers le nord de la Choria montagneuse.

Au cours de la dernière semaine, les « hommes de neige » ont été remarqués plus d'une fois dans l'amont de la rivière Mras-sou. Elle passe par la Choria montagneuse, dans la partie sud de la région de Kémérovo, mais plus au nord par rapport à la caverne Azassky que les journalistes ont baptisée « le foyer paternel des yétis ».

Croire ou ne pas croire les récits sur les rencontres avec l’homme de neige, chacun peut en décider lui-même. Au dire des pêcheurs d’une localité perdue dans la taïga de Toz, ils auraient vu deux grands êtres étranges avec un cuir chevelu épais, qu’ils avaient d'abord pris pour des vêtements sombres, au bord de la rivière Mras-sou, alors qu’ils passaient par là dans une barque. Ceux-là buvaient l'eau, ne réagissaient pas à la salutation, c'est pourquoi les pêcheurs se sont intéressés, si tout allait bien chez eux. Un des témoins oculaires de la rencontre extraordinaire Vitaly Verchinine raconte…

« Avez-vous besoin d’aide ? Ils ont pris la fuite, marchant sur les pattes de derrière, chevelus, poilus. Ils avançaient sur le flanc d’un coteau, en écartant avec leurs pattes de devant les buissons. Nous pensions : l'ours, dans tous les cas, ne court pas ainsi, parce qu’il court sur quatre pattes. Et ceux-là, ils courent donc comme des gens ».

Le directeur du centre International d’hominologie à Moscou Igor Bourtsev étudie les yétis depuis presqu’un demi-siècle. Il coopère avec mille explorateurs bénévoles dans le monde entier, en effet, l’hominologie n'est pas reconnue officiellement comme science. Les yétis vivent dans le monde entier, et dans les montagnes de Choria, habite le plus grand nombre en Russie, dit Igor Bourtsev.

« Nous sommes arrivés à la conclusion que cet être, en principe, est un homme puisqu'il peut même parler et communiquer avec les gens. Mais son aspect se distingue du nôtre. Ces êtres sont extrêmement bien adaptés pour la vie en pleine nature ».

Le célèbre généticien Brian Sax, professeur de l'université d'Oxford a l'intention de mettre les points sur les i dans la longue discussion, les yétis, existent-ils pour de bon et sont-ils « des parents » de l’homme ? Profitant des technologies les plus avancées, il a déjà commencé à étudier les restes des habitants mystérieux des lieux peu accessibles. En décembre, le savant envisage de présenter à l'opinion publique mondiale les résultats du travail.

Marïa Domnitskaïa


mercredi 1 août 2012

Un trou noir supermassif, mangeur d'astéroïdes


Le trou noir supermassif de la Voie lactée, Sagittarius A* (ou Sgr A*), pourrait, littéralement, vaporiser et dévorer les astéroïdes, qui passent à sa portée. Ceci pourrait expliquer les différentes lueurs observées, d'après les astronomes de la NASA.

Depuis plusieurs années déjà, le télescope Chandra de la NASA (tout comme le VLT de l'ESO d'ailleurs) détectait des rayons X émettant de faibles lueurs. Celles-ci survenaient environ une fois par jour, émanant du trou noir supermassif situé au centre de la Voie lactée : Sagittarius A*. Ces lueurs disparaissaient quelques heures après, non sans avoir émis une luminosité presque équivalente à 100 fois celle que les trous noirs ont pour habitude de laisser échapper.

"Les gens avaient des doutes sur le fait que des astéroïdes puissent se former dans l'environnement rude qui existe à proximité des trous noirs supermassifs", explique Kastytis Zubovas de l'université britannique de Leicester et auteur principal de l'étude parue dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society (l'Académie des sciences anglaise). Mais selon les recherches que ce chercheur et ses collègues ont effectué, il y aurait en fait un véritable nuage de plusieurs milliards d'astéroïdes et de comètes autour de Sgr A*. Et ces objets participeraient aux émissions de lumière observées par Chandra, rapporte un communiqué de la NASA. En effet, d'après les scientifiques, lorsque les astéroïdes passent ne serait-ce qu'à 1,5 milliard de km du trou noir, ils sont littéralement pulvérisés par les forces qui s'échappent du trou noir. Ce sont alors les fragments pulvérisés qui, par effet de friction, lorsqu'ils s'échauffent, émettent la lueur qui est perceptible (un peu comme une étoile filante). Cette lueur apparaît avant d'être engloutie par le trou noir. Il faut toutefois que l'astéroïde est une taille suffisante, c'est à dire d'au moins 9 kilomètres de rayon pour qu'il puisse être perçu par Chandra. Ce qui sous-entend donc que Sgr A* dévore un nombre colossal de petits astéroïdes qui ne peuvent être observés.